mardi 28 février 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 7

Femme indécise que je suis, j’aimerais bien me retrouver sans un dilemme compliqué qui finirait par me ronger  l’esprit.
Quel est le prochain livre que je lirais? 
Question pénible, étant donné que j’en possède tellement, qu’il m’est presque impossible de choisir.
Parfois, avoir trop d’options est un véritable fardeau!
Mais je ne changerais rien, si ce n’est que de me procurer plus de livres.
Je devrais songer à faire autre chose de mon temps libre, que de penser à tous les livres que je n’ai pas, et tous ceux que j’achèterais dans un avenir rapproché.
Ça me donne une migraine presque mortelle, juste à y penser!
Source de soucis et de frustration, de ne pas être capable de choisir entre celui-ci et celui-là!
Je me complique la vie pour rien, mais ça m’empêche de m’ennuyer.
Et si je ne peux faire un choix, j’irais à la bibliothèque de l’école pour en choisir un!
Il y a surement de bons livres féministes que je pourrais dévorer dans mes temps libres.
J’aime bien lire sur ce sujet. Je trouve ça intéressant de constater tous les changements que les femmes de notre société ont endurés au fil du temps.
Droit de vote, droit à l’avortement, équité salariale, droit d’appartenir des biens, etc.
Je me sens privilégiée de ne pas avoir eu à vivre au travers de ça, mais bon, ce n’est malheureusement pas une réalité pour les femmes de certaines régions du monde.
Je vais m’abstenir de rentrer dans les détails.
Croyez-moi, vous de voulez pas connaitre mes opinions là-dessus!
Je ne censure jamais mes paroles ou mes écrits, et je ne commencerais certainement pas maintenant, après autant de temps consacré à cette histoire.
Je ne comprends pas les gens qui ont un problème avec la franchise et l’honnêteté.
Essayer de faire comprendre son point de vue, n’est-ce pas le défi d’une vie?
Cela n’est-il pas l’une des raisons que nous avons des opinions pour commencer?
Partager notre état d’être, pour que les autres se souviennent de nous, même après notre mort; de laisser quelque chose dernière nous après notre départ.
J’assume cela simplement parce qu’il m’est impossible, au moment présent, de penser à une fin.  J’ai un peu peur de me faire oublier; ou qu’après un certain temps, ça sera comme si je n’avais jamais existé…
La raison d’écrire des auteurs, n’est-ce pas ça? De laisser quelque chose derrière eux, pour ne jamais tomber dans l’oubli?
Il me semble logique d’assumer que la bataille de l’oubli est une des raisons principales de la création. Ça, et le désir de partager son art avec les autres, peu importe ce que c’est.
Mais certains ne comprendront jamais.
Comme je l’avais dit précédemment, j’en ai marre des autruches et des bouchés.
Ceux qui ne veulent rien voir, et ceux qui ne veulent rien comprendre.
Quelle chance j’ai de ne pas devoir être en contact avec eux trop souvent!
Pas assez souvent pour que je perdre la carte, mais assez souvent pour m’irriter.
J’aimerais bien faire un grand ménage dans ma vie, pour me débarrasser de toutes les sources de mes frustrations, mais je me rentrouvrais sans amis, sans famille et sans biens matériels.
Et je ne peux pas vivre sans ces choses, c’est impossible!
Une image assez traumatisante apparait devant mes yeux; une vision de moi, seule dans un cimetière, entouré des pierres tombales des gens que je connais.
J’ai déjà vu ceci quelque part, mais je n’arrive pas à me souvenir de sa provenance.
Et je dois avouer que je n’ai pas trop envie de me rappeler de ça.
J’ai d’autres chats à fouetter si vous voyez ce que j’veux dire!
Comme finir mon foutu livre de français que j’ai peine à regarder sans en avoir la nausée.
Faire des travaux scolaires peut parfois me donner des malaises.
Je ne suis pas réellement malade, mais mon esprit essaie de me convaincre du contraire. Le mal de tête apparait de nulle part; pénible et déstabilisant. Cela m’incite à trouver des excuses pour reporter le travail à plus tard, me promettant de terminer la prochaine fois, mais sans savoir qui je tiendrais cette promesse.
Boulle de frustration que je suis, j’aurais envie de disparaitre ou de m’envoler le plus loin possible, pour ne pas devoir faire toutes ces choses ennuyeuses.
La normalité commence à m’apparaitre comme la chose la plus banale qui soit.
J’envie les personnages de récits de science-fiction,  car eux, ils ont de l’action et de l’aventure quand leur quotidien.
J’économise pour cette raison seule; de pouvoir voyager et m’évader de la petite vie monotone qui enferme dans une petite boite, ou peut-être est-ce une cellule de prison?
Peu importe comment je décris cet enfer, elle est trop ordinaire pour me plaire.
Je paye le prix pour avoir lu trop de livres de fantaisie et regarder trop de films de science-fiction.
Parfois, mon imagination me torture, parce que je suis capable d’imaginer toutes ces choses impossibles à réaliser, mais que j’aimerais rendre possibles.
J’espère seulement qu’un jour, nous vivrons vraiment dans un monde où les limites seront dépassées, et que nous pourrons enfin vivre ce rêve; de rendre l’impossible une réalité.
J’aimerais vivre assez vieille pour voir ça.
Je pense me lancer dans la lecture d’un livre de psychologie. J’ai eu la chance d’en trouver quelques-uns pendant ma dernière session de magasinage.
 Peut-être trouverais-je de nouvelles idées? Je l’espère bien.
Dans ces bouquins, le but principal de l’auteur est de nous faire réfléchir; de jeter un regard sur soi, tout en espérant que ce geste simple incite le changement.
Faire une bonne analyse de son état mental peut être très bénéficiant.
Sur une autre note, j’ai fait une découverte assez surprenante récemment.
Grâce au monde de recherche Google et Wikipédia, j’ai découvert qu’il y a des personnes qui s’amusent à se passer pour moi sur internet.
En ce servant de mon nom d’utilisateur, tour leur était possible.
Tout ça s’est passé sur des sites web très convoités par des auteurs, entre autres, sur fanfiction.net et sur elfwood.com
J’ai fait sécuriser mes documents afin de prévenir le vol et la reproduction non autorisée.
Je n’ai rien contre le fait que les gens s’intéressent à mes histoires, au contraire, j’en suis très heureuse, mais il ne faut pas oublier que le vol des créations artistique est une offense pour les auteurs.
Je n’encourage pas ce genre de comportement, et je dénonce sans ressentir de remords.
J’ai signé des pétitions et j’ai partagé mes expériences sur des forums.
Si vous voulez utiliser mes écrits, mes photos, mes œuvres, etc., pour qu’importe la raison, il vous suffit de demander.
Donner moi la raison de votre emprunt, un lien vers le site web où l’œuvre en question sera mis en évidence et promettrez moi de me mentionner comme en étant l’auteur, comme ça, je recevrais le crédit pour mon travail.
Je suis honorée du fait que certains de mes lecteurs fassent la promotion de mes travaux sur leur propre blog et les sites web. Je n’oublie jamais de les remercier. Leurs encouragements me donnent un second souffle et une raison de  plus pour continuer mes projets
Je considère l’écriture comme mon emploi à temps plein.
Je passe autant d’heures à écrire qu’à étudier dans mes livres d’école.
Je n’aurais jamais imaginé que mon amour pour l’écriture saurait renforcit à ce point.
J’en suis fier, et ça, sans vouloir me vanter.
Mon plus grand rêve : devenir auteure.
Je pense que ceci est un bon début, et je suis sûr que j’arriverais à réaliser ce rêve; un peu fou, un peu ridicule, mais pas pour le moins alléchant.
Je suis sure que je pourrais faire quelque chose avec toutes les idées que j’ai dans la tête, mais je dois avouer que j’ignore encore comment les canaliser et leur donner vie.
J’ai bien commencé mon processus de désintox intellectuel en écrivant l’histoire de Léon et Bella, et celle de Damien par le fait même.
Je devrais peut-être engager une femme de ménage pour mettre de l’ordre dans mon pêle-mêle psychique.
Passer l’aspirateur et épousseté me ferait le plus grand bien!
Je me demande d’où viennent toutes ces idées loufoques, plus absurdes les unes que les autres.
Je devrais raconter le rêve que j’ai fait il y a quelques jours.
Même moi j’ai du mal à croire que j’ai pu inventer ça…
J’ai rêvé que j’étais enceinte d’environ dix semaines.
J’avais l’intention de cacher ma grossesse à mes parents, qui m’auraient tué en apprenant mon état de santé.
J’ai donc appelé mon amie, pour qu’elle vienne avec moi à la clinique médicale, pour que je consulte un médecin, et pour le fait même, pour que je me fasse avorter. Nous arrivons là et le médecin m’explique les procédures entourant l’opération.
Des méthodes absolument dégoutantes m’ont été expliquées.
Ce qui suit me donna mal de cœur et sueurs froides.
Pour assurer le succès de l’avortement, il devait m’opérer dans l’utérus.  Jusque-là, tout semblait avoir un sens, jusqu'à ce que le médecin m’explique la suite.
Pour se débarrasser de fœtus non désiré, il devait remplir mon utérus de petits vers blancs, pour qu’ils dévorent l’intrus.
Il me montra ensuite des photos des insectes en question.
Le rêve se termina avec mon amie et moi dans sa voiture, se dirigeant vers une autre clinique médicale.
Nul besoin de vous dire qu’en me réveillant le matin suivant, j’avais encore des nausées.
Je fais souvent des rêves étranges, mais celui-là était sans doute le pire des tous.
Faire des rêves absurdes, c’est une de mes spécialités.
Je devrais sans doute les écrire. Peut-être que j’en trouverais de l’inspiration.
L’avortement, les vers blancs et l’hystérie collective semblent être des sujets sans connexion, mais je peux toujours être surprise.
Devrais-je écrire une histoire donc, le héros est un vers blanc? Pas seulement un vers blanc, mais un être de taille humaine donc la mission est de recueillir les pauvres petits fœtus, victimes de l’avortement, pour  les rescaper et les éduquer afin qu’ils aient une carrière prometteuse de  zombies mangeurs de cerveaux ou de mort vivant errant dans les cimetières pendant les nuits de pleine lune.
Assez inspirant pour vous?
Je pourrais aussi écrire, de la manière d’un journal intime, les chroniques des jeunes putains qui ont recours à l’avortement de façon excessive, quand la pilule du lendemain ne fonctionne pas…
Je m’inventerais des scénarios et je ne tarderais pas à remplir les pages de mon cahier d’écriture.
Je suis devenu presque impossible à arrêter, mon seul soucie, c’est d’avoir trop d’idées et pas assez de temps pour les mettre sur papier.
Je découvre de nouvelles inspirations tous les jours.
Je devrais sans doute écrire le chapitre 2 de la chronique de Teddy et Jake, mais je risque de me répéter. Il est difficile de placer des chiens dans des situations trop complexes, au risque de ne pas rendre cela crédible et avalable.
Je ne me vois pas écrire un deuxième chapitre sur les passe-temps secrets de mes deux chiens.
Je sais que vous aurez du mal à croire que Teddy aime jouer au Golf, et que Jake est un accro du jardinage.
Dure à croire, mais peut-être pas impossible à imaginer.
Je sais qu’il serait impossible d’écrire ce genre de chose sans les transformer en être qui soit ‘’autre’’ que des chiens. Pour écrire une telle histoire, il faudrait leur donner des caractéristiques purement humaines. En faisant cela, je ne raconterais plus une histoire à propos de Teddy et Jake, mais d’une histoire donc les deux personnages principaux en sont inspirés.
Un peu dure à suivre, mais vous n’avez qu’à rester attentif pour comprendre.
Arrêtez de jouer avec votre téléphone cellulaire ou votre lecteur MP3, et vous aurez moins de problèmes.
Je demande votre attention, si ce n’est que pour quelques secondes. N’oubliez surtout pas que vous avez fait le choix de continuer à lire, même quand vous trouviez cela ennuyeux comme la pluie.
Je suis autant responsable que vous.
J’ai longtemps cherché ma véritable passion, mais maintenant que je l’ai trouvé, il me semble tout à fait naturel de continuer dans cette matière.
J’aimerais bien avoir d’autres projets, mais je dois demeurer réaliste et raisonnable. Je n’aime pas avoir trop de projets en même temps, car je sais que je risque de ne pas pouvoir les terminer.
Avoir trop de projets en même temps me rend nerveuse, stressée même. Je n’aime pas devoir faire les choses rapidement, je préfère prendre mon temps et de m’appliquer le plus possible.
Je fais les choses un à la fois.
Je me trouve à écouter les lamentations, les jugements et les sacres des gens de la pièce voisine.
Que j’aimerais avoir assez de nerfs pour leur dire de se la fermer!
On-t-il mieux à faire que ce se plaindre jour et nuit, pour des banalités sans importance?
J’aimerais bien être capable de comprendre leur point de vue.
La compréhension amènera telle la tolérance?
Cela dépend toujours s’il y a actuellement quelque chose à comprendre…
Peut importe, cela ne m’est d'aucunes importance.
Je n’ai aucune envie de perdre mon temps à analyser ce genre de chose.
Je refuse de laisser les ambiances négatives de ce genre m’affecter. J’ai mieux à faire de mon temps que de me préoccuper des problèmes des autres.
J’en ai même informé mon entourage.
C’est ma résolution de la nouvelle année :
Ne plus laisser les problèmes des autres devenir les miens.
Ce genre d’inquiétude m’a déjà rendu malade dans le passé, et je ne laisserais plus cela m’affecter de cette manière.
Je suis une personne qui s’inquiète beaucoup trop. J’ai tendance à prendre les choses trop à cœur, trop au sérieux.
Je dois vraiment apprendre à lâcher prise.
Je dois apprendre à affaiblir mon attachement émotionnel, comme un mourant doit apprendre à lâcher prise quand vient le temps de mourir.
Je pense que l’histoire du vers blanc géant, collectionneur de fœtus, serait un bon projet à réaliser pendant les vacances me mars.
C’est une idée comme une autre…

mardi 21 février 2012

l'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 6

Teddy a toujours eu une personnalité un peu bizarre.
Marabout, grincheux et grognon à ses heures, il est un petit chien imprévisible.
La raison que je le traite d’hypocrite, c’est parce qu’il se cache toujours pour faire des mauvais coups, ou il cache les jouets pour que Jake n’en ait pas.
Nous avons eu teddy le premier et il a été le chouchou pendant les quatre premières années de sa vie. Il n’a jamais eu à partager quoi que ce soit avant que son compagnon arrive dans le portrait. Jake nous a été donné par mon frère, qui l’a eu de quelqu’un d’autre; vous voyez un peu comment la situation a progressé.
La raison de son abandon : son nouveau maitre (mon frère) n’avait pas la patience pour prendre soin d’un chien.
Il aime les chats, et je n’y en veux pas.
Je comprends que certaines personnes ont des préférences, mais quand je vais à la SPCA, et que je vais voir les animaux, je me sens triste.
Nous y allons parce qu’on aimerait peut-être adopter un autre chien ou un petit minet.
Si j’avais des millions en banque, ma maison déborderait de chiens et de chats.
Mais la réalité est une tout autre chose…
Bref, il nous l’a offert, parce qu’il ne le voulait plus. Il ne voulait pas l’envoyer dans un refuge pour animaux, parce qu’il savait ce qui aurait pu arriver dans ce cas là.
Heureusement, ce chien n’a pas de problèmes de comportement. Il n’était pas éduqué à la tonne, mais avec de la patience, nous avons réussi à lui apprendre de nouvelles choses.
Les cours d’obéissance ont porté fruit!
Teddy était jaloux, principalement parce qu’il n’était plus le centre d’attention. Maintenant, il devait nous partager avec un autre chien, plus gros et plus jeune que lui.
Pardonnez-moi pour mon manque de précision, je n’ai pas pensé de décrire mes deux chiens en détail pour vous aider à les imaginer. 
Teddy (chien# 1) est un border collie croisé de 4 ans, au poil long noir et blanc, pesant 28 lb.
Jake (chien # 2) est un labrador croisé de 2 ans, au poil long roux foncé, pesant 90 lb.
J’espère que cette brève description vous aidera à vous mettre en contexte.
Comme je le disais, teddy a vécus une période difficile après l’arrivé du petit dernier.
En pleine crise de jalousie et après seulement quelques jours, il a commencé à uriner sur les lits.
Sans doute était-ce une façon de se venger…
Punitions et conséquences, voilà ce qui est arrivé à mon cher Ted.
Mais après ça, aucun autre problème n’est survenu.
Il y a eu un incident il y a quelques mois, qui a fait rager ma mère au plus haut point.
Un de nos locataires (ma mère est propriétaire de quelques maisons… longue histoire) est arrivé chez moi à l’improviste, pour payer son loyer. Monsieur teddy, chien protecteur qu’il est, s’est mis à japper quand l’homme a approché la maison.
L’imbécile, frustré par les jappements de mon chien, a essayé de lui donner des coups de pied!
J’avais envie de sortir mon couteau de boucherie, lui couper les testicules, pour ensuite les faire cuire dans la poêle et le forcer à avaler le tout par la suite!  Je lui aurais enfoncé tout ça dans la gorge!
Pauvre gars, il ne me connait pas encore.
Maintenant, il m’évite comme la peste.
Ce n’est pas parce que je lui ai dit (je suis restée muette comme une tombe) mais à cause de regard noir que je lui ai lancé après avoir vu ce qu’il essayait de faire.
Je peux être très effrayante quand j’en ai envie.
Et à ce moment-là, j’en avais envie.
Ce n’est pas la seule fois que nous avions eu des problèmes avec ce locataire.
En plus de se sauver sans payer le loyer, il a fait des dommages assez signifiants dans l’appartement qu’il occupait.
Disons juste que mes parents n’étaient pas très ravis de ce déroulement d’événements.
Quand ce pauvre con pourrira ans sa tombe un de ces jours, je suis certaine que nous ne serons pas les seuls à venir chier sur sa pierre tombale.
Je connais quelques personnes qui mériteraient de se faire vandaliser de cette façon.
Je ne nommerais aucun nom, mais ceux et celles qui me connaissent pourront sans doute deviner de qui il s’agit.
Ces individus font, sans aucun doute, partie du pourcentage de la population dont personne ne va manquer après leur mort.
Triste, mais vrai.
Cette catégorie existe depuis très longtemps, depuis toujours.
Si on devait se mettre tous ensemble pour en faire le bilan, la liste serait longue…
Peu importe votre façon de voir les choses, cela demeure un fait qu’il y a plus d’une catégorie de gens.
Ceux qui disent qu’on peut tous se mettre dans le même panier sont complètement aveuglés par leur propre stupidité.
De dire que nous sommes tous pareils me semble être une fausse affirmation.
Comme dirait Mailloux, mon psychiatre préféré;
Dans nos vies, on va rencontrer trois différents types de personnes.
-          Les crottés
-          Les gens ordinaires
-           Et les gens extraordinaires.
Une affirmation qui a mon avis semble logique et remplie de bon sens.
Cela ne me semble pas si dur à comprendre, mais bon, ce n’est pas tout le monde qui sait comment se servir de leur intelligence
Ceux qui pensent le contraire on sans doute le niveau intellectuel d’un enfant de cinq ans, incapable de jugement à la base la plus primaire.
Je suis peut-être un peu bizarre, mais je ne me souviens pas d’un temps où je n’avais pas un raisonnement similaire.
Enfant, je n’ai jamais été l’amie de tout le monde.
Nous sommes tous allez à l’école avec  des gens qui étaient aimés de tous. Amicaux, sociaux, ils avaient des tonnes d’amis.
Être l’enfant sauvage que j’étais, je n’en avais que deux ou trois.
J’ai toujours été très sélective avec les gens. Je choisissais mes amis, tout en apprenant à mieux les connaître.
La confiance ne me venait aussi facilement qu’avec les autres enfants. Si certaines personnes voulaient devenir mes amis, ils devaient gagner ma confiance.
Ce genre de comportement a attiré l’attention de mes professeurs, qui voyaient cela comme un signe d’anti sociabilité.
J’aime mieux avoir deux ou trois véritables amis que d’en avoir des centaines, qui ne sont rien d’autre que des bouches trous.
Plus de dix ans plus tard, j’y crois encore dur comme fer.
Et je doute fortement que mon opinion change au fil du temps.
À  moins  que je perde la carte après avoir passé trop de temps en compagnie de gens complètement cinglés.
Leur maladie étant contagieuse, je me suis mis à avoir des symptômes déstabilisants, signe que je perdais le contact avec la réalité.
C’est une pensée assez dérangeante, mais des réflexions de ce genre sont assez fréquentes dans mon cas.
J’espère ne jamais perdre la raison; mon état d’esprit est ma possession la plus précieuse.
Mais si un jour je deviens ‘’folle’’, quel que décrit par les professionnel de la santé mentale, je pourrais sans doute écrire des segments encore plus osés, sombres et imprévisibles. Peut-être que je deviendrais meilleure dans ce domaine après la cérémonie d’adieux de ma santé mentale.
Cette idée me semble presque alléchante, mais j’oublie vite mes désirs les plus secrets…
On peut aussi bien écrire comme une folle, sans nécessairement en devenir une, au sens médical du terme.
 La définition clinique de la folle est une perte de contact avec la réalité, de l’incohérence verbale et/ou mentale et l’incapacité de garder un fil d’idées logique et sensé.
Je devrais peut-être songer à faire un peu d’auto-annalisation pour me remettre de la période de folie passagère que je viens d’endurer.
Le tout pour déterminer si je suis encore à risque d’écrire et de faire encore plus de conneries.
J’ai reçu une vague de mauvaises nouvelles, certaines me concernant directement, d’autres moins.
Cela ne change pas le fait qu’elles sont tristes.
Je ne peux m’empêcher de me poser des questions sur le sens de la vie et des raisons de nos souffrances.
Deux personnes que je connaissais sont mortes depuis le début de l’année.
Une partie beaucoup trop tôt à cause d’un cancer et l’autre, de cause inconnue jusqu’à maintenant.
J’espère vivre assez vieille pour avoir le temps de faire ce que je veux de ma vie, mais pas si vieille pour voir tous les gens que j’aime mourir avant moi; comme c’est le cas pour certaines personnes.
C’est malheureux tout de même, de voir tes enfants, ta famille, tes amis mourir, tandis que toi, tu restes en arrière.
Si je vis assez longtemps pour vivre une chose pareille, j’espère souffrir d’une « ’ maladie de vieux »’, comme ça, je n’aurais pas conscience de rien.
Je pourrais mourir en paix, sans avoir de soucis ou de regrets.
Heureusement, il me reste des décennies à vivre avant de devoir me soucier avec ce genre de problème.
J’ai peur de finir mes jours seuls.
Je ne veux pas avoir d’enfants, et je doute fort bien de me marier un de ces jours, donc il y a des chances que ça arrive…
Quelle misère m’attend!
C’est assez pour en avoir une larme à l’œil!
Ai-je déjà mentionné que j’étais une professionnelle de sarcasme et de l’humour noir?
J’aime mieux voir les choses du bon côté, avec un brin d’humour.
Mais ça c’est mon opinion, et vous êtes libre de penser ce que vous voulez…
J’ai encore acheté des livres.
Je suis allez faire du magasinage il y a quelques jours, avec un maigre budget de 20$.
J’ai vu des livres de psychologie, d’histoire ancestrale, des best-sellers et je ne pus résister à la tentation.
Quand on trouve des bons bouquins à 0.50 $, on saute dessus!
Ça me fait moins mal au cœur de payer 0.50 $, 1 $, 2 $ pour un livre que de payer le plein prix.
Je suis allez faire un tour à la librairie près de chez moi pour placer une commande, et je n’ai pu m’empêcher de remarquer les prix exorbitants des romans en magasin.
Les prix, tellement loin de ce que je suis habitué de payer, me donnaient des maux de tête!
Je ne comprends pas pourquoi les gens paieraient ça sans avoir un peu mal au cœur.
Ça me dépasse complètement.
Moi, comme toujours, j’ai fait mes emplettes littéraires dans les petits magasins d’articles usagés. Avec 20$, on va loin dans des endroits comme ceux-là.
J’aime acheter des livres, mais j’aime encore plus ça quand ceux-ci sont à bon marché.
J’ai acheté une dizaine le livre pour la modique somme de 7.50$.
Rien de trop beau pour moi, jeune adulte de 21 ans, qui devient folle à la vue des ventes!
Dans de pareilles conditions, je ne comprends pas pourquoi les gens ne pensent pas à allez aux magasins de seconde main pour acheter leurs livres.
J’ai fait de très belles trouvailles au fil du temps, et je ne doute pas que de nouveaux petits trésors se retrouvent devant mes yeux à mes prochaines visites.
Je rêve d’avoir mon propre magasin de livres usagés.
J’aimerais bien trop ça; être entouré de bouquins toute la journée, libre de lire à volonté et de partager  opinions et conseils aux clients qui le désirent.
Une autre chose qui me passionne : les antiquités.
J’habite dans une maison bicentenaire, remplie de vieilleries de toute sorte.
Le sous-sol est également rempli à craquer, mais je vais m’abstenir de rentrer dans les détails.
Bref, ça fait très longtemps que je passe mon temps entouré de vieilles choses; objets d’une autre époque.
J’aime bien les vieilles poupées, les bibelots de porcelaine, la vaisselle de fantaisie et les décorations, vieille comme tout, mais encore remplie de charme.
À cause de mon amour pour les vieux bric-à-brac, j’aurais aimé, un jour, avoir mon propre magasin d’antiquités.
J’ai l’œil pour ce genre de chose et je connais la différence entre les reproductions et les véritables objets de collection.
Les magasins de seconde main sont les endroits idéals pour trouver des antiquités à bon marché.
On peut parfois y trouver des choses assez surprenantes; des articles rares ou de grandes valeurs.
Je devrais faire des recherches sur le sujet. J’aimerais bien connaître la valeur de mes poupées.
Il y en a une, que j’ai depuis l’âge de dix ans, dont j’ignore encore l’origine, même après des années de recherche.
J’ai quand même appris des choses à son sujet, mais même après tant de recherche, je n’ai jamais revu une poupée exactement pareille, que ça soit su internet, dans les livres/magasines ou dans les collections de mes contacts.
Je sais que cette poupée a été fabriquée au Japon dans les années 60; il y a quelques sites web spécialement dédiés à ce genre de poupées.
Elles ont un look très unique; des jolis visages, des vêtements flamboyants, un corps fait entièrement de tissus, ressemblant étrangement au matériel de bas de nylon.
La mienne a le visage peint à la main, ce qui la rend encore plus belle à mes yeux.
Ce qui est le plus exceptionnel dans son cas, c’est que celle-ci est une poupée de ‘’ Noël “’.
Elle a un petit costume rouge; une robe rouge en feutre, simple, mais très jolie, un ‘’collet’’ de dentelle volumineux et une tuque rouge avec un petit pompon blanc au bout, comme celle du père Noël.
Elle a aussi des petits souliers de lutin, rouge, également orné d’un pompon à la pointe.
C’est peut-être pour ça que je n’ai pas réussi à trouver de l’information à son sujet.
Est-ce une poupée tellement rare qu’elle n’est pas documentée dans les archives des sites web les plus fiables pour les poupées antiques?  
J’aimerais bien le savoir.
Je sais, après avoir fait tant de recherches importantes, que les poupées à thèmes de Noël, Pâques, etc. sont très rares, presque non existantes.
Ce qui explique sans doute l’offre de 400 $ que j’ai reçus de la part d’une correspondante internet.
Elle voulait l’acheter pour cette somme très alléchante.
J’ai tout de même refusé.
Maintenant que je suis complètement fauché, je regrette un peu…
Mais bon, j’ai juste à arrêter les dépenses inutiles et ma situation s’améliorera.

Je n’ai vraiment pas à me plaindre, car ma situation pourrait être beaucoup plus pire.
Après tout, je pourrais être dans la rue, sans argent et sans espoir.
Heureusement que ma réalité quotidienne est bien différente.
Parfois, je me plains avec la bouche pleine, quand il y a des gens qui ne pourraient même pas rêver d’avoir le peu que j’ai en ma possession.
Mon vulgaire compte de banque en fait baver plus d’un.
Simplement parce qu’ils ont des dettes, et ils envient les petites crèves faim comme moi, qui on la chance de ne pas en avoir.
J’ai fait le choix de ne pas avoir de téléphone cellulaire, de voiture et même de carte de crédit pour ne pas me retrouver avec des dettes importantes, car je doute d’être capable de les rembourser.
J’aime beaucoup mieux payer de ma poche que de m’endetter, en plus de payer un taux d’intérêt de 20%, si ce n’est pas plus.
Je veux avoir un départ sain dans ma vie d’adulte, avec le moins de problèmes possible, ceci incluant les dettes.
Je peux vivre sans toutes les cochonneries technologiques : I phone, Blackberry et compagnie.
Je suis satisfaite de ce que j’ai; ma télévision, mon lecteur DVD, mon système de son de 10 ans et mon iPod sont suffisants à mon goût.
J’aime garder les choses simples, mais parfois je me complique la vie pour rien.
Mais en toute honnêteté, qui n’a pas déjà fait ça?  


vendredi 17 février 2012

Pour les petits curieux - liens de références.

http://www.fanfiction.net/s/4996758/1/Baby_or_beast L'histoire de Léon et Bella ( en anglais seulement)

http://www.fanfiction.net/s/6887797/1/A_well_kept_secret L'histoire de Damien, (en anglais seulement)

http://www.fanfiction.net/u/1332053/ryro_fanfiction_x3 ma page fanfiction.net (en anglais seulement)

http://ryro-fanfiction-x3.deviantart.com/ mon site web deviantart. pour mes histoires, mes photos et autre.

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 5

  
Me, myself and i !
Ce n’est pas compliqué!
Après toute la merde que j’ai vue dans les hôpitaux de la région, j’évite ces établissements comme la peste!
Si je commence à me plaindre de tous les problèmes associés aux hôpitaux, j’aurais du mal à terminer.
Si je tombe malade un de ces jours, je pense que j’aimerais mieux crever que de me faire soigner par une bande de bouffons incompétents , qui ont sans doute trouvé leur diplôme de pratique médicale dans le fond d’une boite de céréales.
Non, mais quand même, il y a des maudites limites!
L’incompétence règne, et j’en connais qui en ont payé le prix.
Je pense soudainement à quelque chose qui est absolument hors contexte.
La chanson de Mika me vient à l’esprit.
Je pense aux paroles absolument ridicules de cette chanson. Elles me font rire à coût sur!
‘’ Sucking too hard on your lollipop, life’s gonna get You down…’’
Bien dit cher chanteur, encore caché dans le placard…
Nul besoin de détails…
Suce trop fort sur ton suçon et la vie va t’en ramener une! 
Je me suis coupé la langue à trois différents endroits en suçant un satané suçon à la fraise, en forme de cœur.
J’ai un goût de sang dans la bouche, que j’arrive à ignorer facilement.
Une chance que ça ne goûte pas la merde, parce que l’enseignante et les autres élèves de ma classe m’auraient entendu me lamenter haut et fort!
Il y a-t-il quelque chose de plus dégoûtant qu’un goût de merde dans la bouche?
J’arrive à imaginer quelques trucs, plus tordus et dégoûtants les uns que les autres.
C’est assez évident que j’ai besoin d’une vie.
Une vraie vie et pas juste une histoire.
Même si cette histoire, c’est moi tout cracher!
Contradictions et intrigues sont très présentes dans mes écrits.
J’aime bien laisser aux gens la chance d’arriver à leur propre conclusion.
Je ne suis pas toujours facile à suivre et je m’en excuse.
Je suis sure et certaine que même ma propre famille ne me comprend pas complètement. Mes opinions sont parfois choquantes, voir même dérangeante pour les cœurs sensibles.
Mon honnêteté est brutale et j’ai beaucoup de mal à me censurer.  
Je fais chier les gens qui me connaissent et moi, je me fiche complètement de leur réaction face à mes propos un peu trop ‘’épicés’’  à leur goût.
Je n’ai qu’un seul souhait en écrivant ces lignes, c’est que certains membres de ma famille ne lisent jamais ce chapitre, les précédents et ceux que j’écrirais dans un avenir très rapproché.
J’imagine déjà mon inconfort quand ils me poseront toute sorte de questions.
Des questions du genre :
‘’ T’a pas honte de publier des sottises pareilles sur internet?’’
‘’ C’est quoi le sens de tous les trucs que tu as écrits? ’’
‘’ Pourquoi autant d’humour noir dans tes chapitres?’’
Et ainsi de suite…
Je vais avouer que j’ignore ce que je leur reponderais, mais j’aurais sans doute une bonne réplique déstabilisante à leur envoyer par la tête.
Je déteste me justifier, et je ne le ferais pas.
Comme je l’ai dit auparavant, je n’écris pas pour faire plaisir aux autres.
Je me dis également qui si les gens de mon entourage se sentent offenser par mes propos, ils peuvent allez voir ailleurs.
M’ignorer pendant les réunions de famille peut également être une option…
Mais s’ils n’aiment pas ça, ils peuvent cesser la lecture de mes histoires. Un point c’est tout!
J’ai fait l’erreur monumentale de laisser mon carnet de notes sur la table de la cuisine un soir. Je l’avais oublié, et quelques personnes se sont mis le nez là-dedans.
L’ironie du sort, c’est que le carnet en question contenait le onzième chapitre de l’histoire de Léon et Bella, celui qui contient la scène torride, décrite avec un peu trop de détail.
Ma mère a pété une coche, et m’a confrontée.
Je n’ai présenté aucune excuse. Elle savait très bien ce que contenait le carnet. 
Ce que j’écrivais dans mon histoire n’était pas pour elle, et si elle se sentait offensée, c’est son problème et non le mien.
Elle avait juste à ne pas lire, un point c’est tout!
Parfois, j’en ai vraiment marre de vivre avec des grands-mères (je n’ai rien contre elles!) des femmes soi-disant matures et adultes, qui se sentent offensées à la moindre petite niaiserie.
Faites juste dire le mot fesse, téton, zizi, etc., et elles sautent quatre pieds de haut!
Je n’ai rien contre le fait que certaines personnes ne sont pas à l’aise avec ce genre de choses, mais il y a qui exagère!
Ce n’est pas un crime d’écrire des histoires avec des scènes torrides pour ensuite les publier sur internet!
Je suis une femme adulte, alors qu’elle ne pense même pas à me confisquer mon carnet d’écriture!
Ça marchait quand j’avais 10 ans, mais plus maintenant!
Je ne suis plus la jeune fille qui dessinait dans ses cours, se foutant de tout ,qui avait juste envie de ‘’décrisser’’  au plus vite, impatiente que les classes finissent pour retourner chez elle, pour avoir la sainte paix, presque impossible à atteindre dans une classe de débile!
Eh oui, j’ai bien dit le mot  ‘’débile’’; un mot que j’utilise pour décrire les personnes stupides, immatures et juvéniles que j’ai eu le malheur de rencontrer.
Les élèves de ma classe au secondaire, pas tous heureusement, étaient tellement hors de contrôle, qu’ils ont provoqué une dépression nerveuse à mon enseignante de français.
Quand vous êtes capable de provoquer une dépression chez une autre personne en agissant comme un imbécile, tout ça après seulement quelques mois en sa présence, il y a un véritable problème.
Elle a pris une année sabbatique pour se remettre de son traumatisme.
Heureusement que tous les enseignants ne sont pas aussi facilement blessés, car on serait vraiment dans le trouble.
Parfois je me demande pourquoi certaines personnes choisissent de devenir enseignant.
Pour le salaire, pour le pouvoir d’autorité, pour les mois de vacances par année?
Il y en a, qui ne devraient jamais remettre les pieds dans une école après leur graduation du secondaire.
J’aimerais mieux m’ouvrir les veines ou me passer la corde au coup que de devenir enseignante; que ça soit au primaire, au secondaire ou dans n’importe quel centre d’éducation pour adultes.
Me faire poser des questions stupides à longueur de journée, endurer des personnes insignifiantes qui testent la patience de tout le monde, en plus d’être entouré de collègues impossibles à plaire.
Tout ça est assez pour avoir envie de s’ouvrir les veines (c’est mon idée cette fois-ci)
J’aurais aimé être assez folle pour songer à faire carrière avec les jeunes, mais malheureusement, je ne les aime pas!
Bon, ce n’est pas entièrement vrai…
Je les aime, s’ils sont servis avec une bonne sauce BBQ.
L’humour noir, l’arme de choix contre les abrutis qui sont en adoration totale pour les choses stupides de la vie. 
Et par choses stupides, je veux évidemment dire ‘’les enfants’’.
Je déteste les petits morveux, ceux qui sont la source des dépressions nerveuses des mères de ce monde quand elles ne sont plus capables de tolérer les sottises juvéniles de ces petits garnements!
Quand je suis témoin de scènes absolument ridicules dans les magasins, comme un enfant qui se met à faire une crise de colère pour un jouet quelconque, je suis heureuse de ne pas avoir à endurer une telle torture sur une base régulière.
Vive l’abstinence et l’avortement!
C’est des choses comme celles-là qui font en sorte que de moins en mois de gens choisissent d’avoir des enfants.
J’aimerais déménager sur une île déserte, là où les enfants sont non existants. Ça serait le paradis sur terre!
J’attends encore qu'un vaisseau spatial vienne me chercher. Je n’offrirais aucune résistance.
Je serais même ravie de ne plus revoir ma planète, et les gens attardés qui y habitent.
Bon débarras!
Ça serait un nouveau commencement, et dire que j’en rêve depuis si longtemps!
Il n’y a pas de mal à rêver, tant que personne n’en souffre.
J’ai envie de lire quelque chose de ‘’heavy’’, de dérangeant; quelque chose qui va me ‘’brasser la cage’’ bien comme il faut!
Je vais allez faire du magasinage ce soir avec ma meilleure copine. Si on arrête à une librairie, j’irais me procurer le livre dont je vous parlais, ‘’exterminacoeur’’ de Jérôme Laffond.
Ce livre est la suite de Brigitte des colères, une des sources principales de mon inspiration.
Si le deuxième livre de la trilogie est aussi captivant que le premier, je vais avoir toute une gâterie!
Il faudrait aussi que je me mette à lire les livres que j’ai déjà.
Le prochain livre de ma collection que je vais attaquer c’est ‘’stranger in a strange land’’ de Robert .A. Heinlein.
C’est le livre de science-fiction le plus lu de la planète, avec  des millions d’exemplaires vendus.
Je l’ai acheté pour mieux comprendre la raison de sa popularité.
L’histoire semblait intéressante et la couverture du livre m’a tapée à l’œil. 
L’image d’un homme et d’une femme, dont celle-ci a une apparence extra terrestre, le tout, dans les teintes de bleu et de mauve.
Une très belle pièce qui capte l’imagination sans difficulté.
Ce livre fait partie de ma liste de lecture à faire pendant les vacances de mars. Ça sera une semaine assez relaxante, et oui, je prendrais le temps de lire et d’écrire à fond.
Ma liste n’est pas très remplie, car je crains de ne pas être capable de tout faire en une semaine.
J’essaie de me mettre des objectifs réalistes, comme ça, je ne serais pas déçu à la fin de mes vacances, car j’ai manqué de temps pour tout faire.
J’espère avoir le temps de visiter les petites boutiques de Chénéville. Il y a des antiquaires, des boutiques d’artisanats et des friperies. J’y irais avec ma mère, car elle aussi a une passion pour les jolies choses.
Je passerais mes vacances avec elle et nos deux chiens; Jake le dépendant affectif et Teddy l’hypocrite.
Si vous les connaissiez, vous comprendriez.   

mardi 14 février 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 4

Oh que j’adore la lecture!
J’aime bien lire les histoires inventées de toute pièce par des lecteurs passionnés tout comme moi. Il est certain qu’il est plus facile d’écrire des histoires si les personnages mis en vedette existent déjà. Je suis membre de plusieurs sites web, créé par des fans pour les fans. Les membres peuvent publier leurs histoires, basées sur le scénario et les personnages de films et de séries télévisés.
J’ai beaucoup d’admiration pour ceux et celles qui ont le talent, l’imagination et la patience de mettre leurs idées sur papier.
Que j’aimerais être aussi habile et aussi aisé que certains d’entre eux.
Il y en a, qui publient plusieurs chapitres pas semaine, tandis que moi, je n’aurais ce rendement que dans mes rêves les plus fous!
Trouver l’inspiration pour continuer à écrire n’est pas toujours facile.
Parfois je me sens stupide, parce que j’ai l’impression d’avoir eue un peut trop confiance en moi. Comme si j’avais le sentiment de m’être embarqué dans des projets que je ne pourrais pas terminer.
Depuis presque un an, je ‘’souffre’’ du syndrome de la page blanche.
La chose la plus étrange dans tout ça, c’est que je n’ai aucunes difficultés à parler de moi-même, mais je peine à parler de mes personnages.
Je dois avouer que je ne sais pas vraiment comment poursuivre leurs aventures.
Mes idées se tordent, se mêlent, se transforment.

Je vais sans doute ressentir un véritable soulagement quand tout ça sera terminé, mais pour l’instant, je ne ressens qu’anxiété et inquiétude.
J’ai reçu des courriels de la part d’admirateurs frustrés et impatients, m’urgeant de terminer mes récits car ils n’étaient plus capable d’endurer le suspense qu’avait imposé le dernier chapitre que j’avais publié.
Tout en lisant, je me suis dit que s’ils n’étaient pas contents, ils pouvaient écrire les prochains chapitres eux-mêmes et me laisser respirer en paix.
Je n’oserais pas répondre à leurs messages, au risque de me faire bannir des sites web et de me faire détester par des gens qui souffrent possiblement de maladies mentales non diagnostiqués.
Une note importante : ne pas faire d’ennemies avec des gens qui ont des problèmes entre les deux oreilles. Ça risquerait d’être dangereux pour votre santé
(Peut causer la mort s’il y a manque de prudence!)
Ils aiment bien mettre de la pression; comme si c’était une chose qui m’aide à écrire!
Je déteste voir de la pression; surtout des gens que je ne connais pas!
Ils peuvent toujours lire d’autre trucs; ¸ça les aideraient sans soute à patienter.
Un petit divertissement, ça n’a jamais fait de mal à  personne.
Je dois sérieusement considérer arrêter d’acheter des livres. J’en ai trop, beaucoup trop.  

C’est devenu une véritable obsession. Le mot obsession, que j’utilise assez fréquemment, n’est pas pour décrire le symptôme d’une maladie quelconque, mais pour décrire clairement ma passion des livres. Je ne comprends pas pourquoi j’ai tant de mal à trouver des idées pour mes histoires.
Parfois je n’ai vraiment pas d’allure!
Hier j’ai été demandé au bureau de la directrice. Je me demandais bien pourquoi, parce qu’à ce que je sache, je n’ai rien fait de mal…
À part péter mes boutons dans la salle de bain et essuyer le p’tit jus dans le miroir avec mon doigt. Nul besoin de rajouter de détails à ça…
En tout, je n’ai rien fait de mal, pas au  point de me faire punir par la direction de mon école.  Mme la directrice me demande de m’asseoir, ce que je fais avec un point d’interrogation de planter dans le front. 
Elle me dit : Élaine, il y a des filles du centre qui sont venues me voir il y a quelques jours. Elles m’ont dit que tu t’automutilais dans la salle de bain des filles pendant les cours. Qu’est ce que tu as à me dire là-dessus?
Je pensais tomber de ma chaise! Cette femme (et d’autres filles que je ne connais pas) pense que je m’ouvre les veines!
Attaque de cœur instantané!
Je lui ai dit (avec ma petite face de mange merde) : Mme la directrice, si je m’étais ouvert les veines il y a quelques semaines, j’aurais des marques sur les bras  et comme vous prouvez constater avec vos yeux de rayon x, je n’ai aucune blessure.
Elle semblait soulagée.
Je comprends que c’est sont travail de venir en aide aux élèves qui sont en difficulté, mais je ne fais pas partie de ce groupe de gens qui ont besoin de consulter un psychiatre. Imaginer mon malaise! Je n’aurais jamais deviné qu’un jour, quelqu’un me demanderait une chose pareille!
Je me demande bien qui aurait pu aller lui dire ça…
Pourquoi les gens s’attendent toujours que je vais faire quelque chose de stupide; comme m’ouvrir les veines?
J’ai beaucoup mieux à faire que de me mettre un couteau au poignet!
J’ai déjà assez de problèmes comme ça, pas besoin d’en rajouter!
Parfois je me demande si ce n’est pas eu qui ont des troubles mentaux. On dirait qu’ils s’attendent toujours au pire, comme si les gens un peu timides et réservés étaient tous dépressifs et suicidaires.  Je suis comme ça depuis toujours, et je doute fortement que ça change. Je me souviens, quand j’étais à l’école secondaire, la directrice de mon école a appelé ma mère pour organiser une rencontre.
Bien sûr, je n’y étais pas invité. Si j’avais été là, j’aurais défendu ma cause.
Elle voulait faire croire à ma mère que mon suicide était imminent. Que ce n’était qu’une question de temps avant que je me passe la corde au coup ou que je me jette en bas d’un pont. Ma mère a écouté, et elle riait sans doute dans sa barbe (elle n’en a pas bien sûr, mais quand même!)
Absolument ridicule!
Leur seul argument : j’étais antisociale et je n’avais pas beaucoup d’amis. Sans mentionner que je me faisais harceler et insulter tous les jours par les autres élèves de ma classe. Au nombre de plaintes que j’ai faites à la direction de l’école, ils ne peuvent pas dire que je suis restée assise sans rien faire!
Ouais, le raisonnement des adultes complètement bouchés me semble absurde et pathétique.
Je n’ai jamais songé à mettre fin à mes jours. Je savais trop bien que les gens qui ont rendu mon enfance misérable en auraient trouvé une grande satisfaction.
Ceux qui disent que les enfants sont tous gentils et serviables sont des abrutis!
À mon avis, il n’y a rien de plus méchant et de plus cruel qu’un enfant. Surtout s’ils sont forcés de partager l’espace avec un être plus fragile et différent d’eux. 
Le karma est une chose merveilleuse, car tous ceux qui m’ont emmerdé quand j’étais plus jeune ont tous abandonné leurs études, et ils sont pris à travailler chez McDo pour le reste de leurs vies.
La vengeance est tellement belle!
Un véritable délice pour ceux qui ont eu une dure jeunesse! On récolte ce que l’on sème! 
Aussi étrange que cela puisse sembler, je me sens récompensée!
Méchante fille que je suis d’avoir eu ses pensées!
Miroir magique, oh, miroir magique; qui est la plus vilaine de toutes?
Le visage de mon ancienne prof de français apparaît dans la vitre…
Imagination maudite et imprévisible, laisse-moi respirer, si seulement pour une seconde!
 Je continue d’écrire des bêtises, pour l’unique raison de me vider la tête de toutes ces images encombrantes. C’est un véritable soulagement d’avoir le droit  d’écrire tout ce qui me passe par la tête.Les pages se remplissent avec peu de difficultés. Tout de même, j’espère être assez cohérente pour que vous compreniez mon état d’esprit.
La plupart du temps, je me sens psychédélique; même un peu bizarre.
J’aime bien les arts. Ce que j’aime faire depuis un certain temps, c’est les arts abstraits.Je laisse toujours mon imagination prendre le dessus quand j’ai un crayon à la main.
J’aime être imprévisible, spontanée!
J’imagine que c’est héréditaire, mes parents ont un esprit créatif assez bien développé; surtout ma mère, la véritable artiste de la famille. Elle s’est toujours spécialisée en  arts visuels, plus précisément en peinture acrylique et en dessin.
J’aimerais avoir la patience pour faire de la peinture!
Plusieurs de ses élèves (elle donne des cours!) prennent leur temps pour réaliser leurs œuvres. Il y en a qui, occasionnellement, qui peuvent prendre jusqu’à un an pour terminer une toile.
Je sais que je n’aurais jamais la patience pour faire ce genre de chose. Si je peins, j’aime mieux faire de l’abstrait. Je trouve ça plus facile et moins restrictif. Quand nous faisons de l’art abstrait, nous pouvons nous laisser allez, sans suivre les techniques et les ‘’règlements’’ de la peinture réaliste.
Je me mets à penser aux choses que je vais faire pendant mes vacances.
J’ai tellement de projets que ça me donne mal à la tête. Visite au Biodôme de Montréal avec deux personnes irrévérentes  (Joke!) ensuite, magasinage à l’animalerie Animaux Nature pour des petites emplettes et du lèche-vitrines!
J’adore allez à cette animalerie. Il y a toujours des tonnes de choses à voir. J’adore allez à cet endroit, il y a toujours des petits chiens, mignon comme tout et des poissons tropicaux, que j’aimerais avoir dans un aquarium chez moi. Ils sont tellement beaux à regarder, avec leurs couleurs flamboyantes.
Si seulement ils étaient abordables!
Il y a longtemps, ma mère m’avait acheté des petites grenouilles africaines. Complètement aquatiques, celles-ci devaient être placées dans un aquarium rempli d’eau salée. Elles étaient minuscules, à peine 5 cm de longueur! J’aimais bien les regarder nager dans leur petite demeure, mais un jour j’ai fait une découverte peu plaisante à mon retour de l’école.
Je suis entrée dans ma chambre comme d’habitude, et j’ai trouvé une des deux petites grenouilles par  terre, complètement séchée. Elle avait réussi à sauter en dehors de l’aquarium!
Comme elle ne pouvait pas survivre en dehors de l’eau, elle mourut.
Une fin triste pour cette petite créature. 
Après ce beau petit voyage dans le royaume des souvenirs, je dois continuer à écrire mes réflexions.
J’ai découvert il y a quelques jours que le livre que j’ai tant adoré, Brigitte des colères de Jérôme Lafond, a une suite!
Je vais sans tarder me commander un exemplaire de ce livre. J’ai tellement aimé  le premier volet que je suis prête à prendre le risque et de dépenser vingt dollars pour  rien. Il y a des livres que je veux absolument avoir dans ma collection personnelle. J’en ai déjà beaucoup, mais en avoir plus ne me fait pas peur. J’ai même songé à acheter une nouvelle bibliothèque. Celles que j’ai en ma possession font dures. Vielles et laides, mais elles font le travail tout de même.
J’aimerais aussi avoir un meuble spécialement pour ma collection de poupées. J’ai vu quelques meubles qui pourraient faire l’affaire. Je sais quel genre de chose que je désire acheter. J’aimerais bien avoir un meuble en vitre, pour qu’on puisse les voir facilement.  Cette collection est ma fierté, j’en suis très satisfaite. J’aimerais en avoir d’autre de ces poupées de collection, mais les trouver n’est pas toujours une chose facile. Je n’en ai trouvé qu’une seule depuis un an!
J’espère que mes sessions de magasinage dans les friperies et les magasins d’objets usagés  vont porter fruit!
Ce que j’aime plus que tout, quand je fais des emplettes dans des magasins de ce genre, c’est les bas prix et l’absence de taxes. Les livres, les vêtements, les bijoux et toutes les autres bonnes choses que l’on peut y trouver sont vendus à des pris ridiculement bas!
Avec une somme d’argent limité, on peut facilement ressortir de là avec des sacs bien remplis!
Il  est facile pour moi de me laisser emporter par tout ça. Les bas pris, les ventes et les deux pour un sont très attrayants à mes yeux.
J’aimerais bien savoir qui est immunisé contre la folie des ventes!
Je vois des bas prix et je deviens folle.
Est-ce juste moi?
J’espère que non, car je me sentirais vraiment seule. 
J’adore allez au marché aux puces. J’y trouver toujours quelque chose à mon goût. Cet été, j’espère y trouver  quelques poupées  pour ma collection. Peut-être même quelques bons bouquins (comme si je n’en avais pas assez!)
J’aimerais bien me trouver des poupées russes. C’est un autre aspect de ma collection. Je les achète spécialement à la vente de produits artisanaux de Saint-André -Alevin.
Chaque fin de semaine de la fête des Mères, la communauté de cette ville organise une vente de produits faite à la main dans la salle communautaire. Les artisans viennent d’un peu partout, certains de Montréal et d’Ottawa.
Ils exposent toujours de très belles choses, les vendant à des prix très raisonnables. Certains d’entre eux font la vente de produits que nous ne voyons pas très souvent. Lampes Tiffany, poupées russes et bijoux faits d’améthyste et d’autres pierres semi-précieuses.
J’aurais aimé faire carrière dans les arts, mais si mon but dans la vie est de voyager et de vivre assez confortablement, je vais devoir renoncer à ce rêve.
C’est la vie en Amérique du Nord.
C’est malheureux à dire, mais nous n’avons pas une industrie artistique très forte; surtout pour les arts visuels : peinture, sculpture, artisanat, etc.
C’est le gros désavantage de vivre dans cette région du monde. Les artistes d’ici ont beaucoup de difficultés à vivre de leur art.
Un bon exemple me vient à l’esprit.
Ma mère.
Même si elle a des clients fidèles, elle ne serait pas capable de subvenir à ses besoins si elle ne vivait qu’avec le revenu de ses cours de peinture.
Elle le fait pour la simple raison qu’elle y trouve encore  joie et satisfaction, même après tant d’années.
Acheter un vieux chandelier qui ne vaut pas un sou, pour le repeindre en blanc, retirer le mécanisme électrique et en faire un porte-chandelle suspendu.
Quelle idée!
Parfois je me demande ou elle trouve toutes ces idées…
Mystère et boule de gomme!
 Revenons vers mes admirateurs excentriques, ceux qui rêvent à mes histoires pendant la nuit, ceux qui les achèteraient s’il était un livre, ceux qui l’aiment tellement qu’ils n’en trouvent pas les mots pour l’exprimer.
J’ai reçu un message assez encourageant de la part d’une jeune fille de seize ans prénommé Jennifer, qui est devenue passionnée de l’histoire de Léon et Bella.
Celle-ci me demandait pourquoi je n’avais pas publié de nouveaux chapitres (la dernière mise à jour était en août 2011) elle me donna quelques bonnes idées, pour m’encourager, et me faire accélérer  le processus d’écriture.
Sans doute en avait-elle assez d’attendre après moi.
Pour l’empêcher de faire une dépression nerveuse où de s’ouvrir les veinesJ, je vais reprendre mes écrits sans plus tarder.
Je lui ai répondu bien sûr.
Tout en demeurant dans le respect, je lui ai dit de ne pas me pousser avec ses demandes, mais que j’étais pour les prendre en considération quand je viendrais à écrire de futurs chapitres. Je lui ai informé sur le progrès du douzième chapitre, lui disant que je croyais le terminer dans deux semaines, plus où moins.
Cela me donne assez de temps pour écrire quelques centaines de mots de plus, car je déteste écrire des petits chapitres insignifiants.
C’est peut-être pourquoi j’ai tant de difficultés à terminer mes histoires…
C’est quelque chose à songer tout de même.
Devrais-je écrire des petits chapitres minimes de trois cents mots, tout ça pour satisfaire mes lecteurs?
L’idée semble presque drôle. C’est absolument ridicule!
Premièrement, j’ai écrit ces histoires pour satisfaire mon besoin de création. Je l’ai fait pour me faire plaisir, mais je suis tout de même heureuse que d’autres personnes apprécient ce que je fais, mais là n’est pas ma raison principale d’écrire.
J’écris parce que j’aime ça. Rien de plus.  Je publie mes histoires pour le plaisir, sans m’attendre qu’ils étaient pour recevoir autant d’attention.
Je suis membre de plusieurs sites web qui encouragent les gens à partager leur  art littéraire où peut importe.les trois site donc je suis la plus active ont des cotes très élevées pour ce qui est de la promotion des membres et de leur travail artistique.
Après trois ans dans l’ombre (seulement dix milles visites dur mon profil Deviantart) j’ai décidé de faire de la publicité.
J’étais curieuse de ce que les gens, de parfaits inconnus, penseraient de mes histoires.
Sans vouloir me vanter, les gens ont eu des choses assez  positives à dire au sujet des récits que j’avais écrits.
Sans compter les fautes d’orthographe et les trois premiers chapitres beaucoup trop courts, ils voyaient du potentiel dans le message que j’essayais de transmettre au travers de ma première histoire.
Croyez-le où non, mais je ne me suis pas pété les bretelles après avoir lu les messages de mes premiers lecteurs.
Au contraire, je me suis mise au travail pour assurer que mes histoires étaient écrites avec un vocabulaire riche, et que le contenue demeurait intéressant et captivant.
C’est beaucoup plus plaisant de lire des histoires quand celles-ci sont bien formulées, bien écrites, bien pensées.
Je prends un grand plaisir à lire des histoires écrites par des gens passionnés et minutieux.
Les histoires de qualité sont bien meilleures à lire que celles écrites par des » amateurs », sans talent, sans imagination et de créativité.
Les histoires sans détails, sans personnages attachants et sans bon scénario ne valent même pas la peine d’être lues.
Je sais que c’est vraiment méchant et insensible de ma part, mais je le pense vraiment.
Mes excuses aux âmes sensibles!
La méchanceté est un poison que je bois avec le plus grand des plaisirs.
Aussi longtemps que je n’en meure pas, je n’y vois aucun inconvénient.
Je suis cynique et je n’y peux rien!
Une autre chose que je ne peux m’empêcher, c’est de me sentir frustré par la maladie des autres. Si cela peut sembler égoïste me ma part, je m’en excuse.
C’est frustrant tout de même, de devoir changer nos plans pour accommoder ceux qui ne sont pas dans le meilleur des états.
Moi je ne change jamais mes plans, c’est les gens autour de moi qui les changent.
Ce qui affecte presque automatiquement les miens, principalement parce que je n’ai pas de voiture!
Heureusement que ma meilleure amie en a une!
À presque vingt -deux ans, vous penserez que je voudrais avoir mon permis de conduire, mais en toute réalité, je n’en ai aucunement envie. Je suis très satisfaite de prendre le transport en commun pour me rendre là ou je veux. Pendant la semaine, les horaires sont très convenants, car il y a un autobus qui passe devant chez moi toutes les heures.
Le problème, c’est la fin de semaine.
C’est un véritable foutoir; source de frustration extrême, sacres offensifs, et mauvaise humeur déstabilisante.
J’assume pleinement cette affirmation.
J’espère seulement que personne ne viendra à ma porte pour me donner un sermon.
Je me plains souvent des chauffeurs grincheux et de leurs retards enrageants. Surtout s’ils arrêtent au Tim Horton’s quand il y a encore des personnes dans l’autobus.
Fais ton travail pauvre imbécile!
Une fois, je suis arrivée en retard pour un examen à cause de ça.
J’étais tellement en colère que j’ai fait une plainte à la société de transport de l’Outaouais.
Ceux qui sentent les inconvénients des horaires peu avantageux et des chauffeurs incompétents  se taisent, comme dans beaucoup d’autres aspects de notre société.
Une autre chose qui me chicote : pourquoi les magasins ferment-ils à 5 h la fin de semaine?
Où encore : pourquoi certains magasins sont fermés le samedi et le dimanche?
C’est une perte d’argent pour les entreprises qui pourraient profiter d’une meilleure clientèle, vu que la majorité des personnes, occupées pendant la semaine, font leurs emplettes la fin de semaine.
Vous allez sans doute me dire: mais c’est la fin de semaine pour tout le monde, même pour ceux qui travaillent dans les magasins!
Rien de les empêchent de travailler, même le samedi et le dimanche, et ils ne sont pas tous forcés de travailler sur le même horaire; certains peuvent travailler une fin de semaine sur deux, d’autres peuvent travailler juste le samedi où le dimanche.
Plus d’argent pour eux et plus d’accommodements pour les clients.
Pas si dure à figurer, mais bon…
Une autre source de mes frustrations est de passer mon temps entouré de fumeurs.
C’est le bout de la merde!
La fumée empeste mes vêtements et mes cheveux. Même si j’ai pris une douche le matin même, je dois en prendre une autre pendant la journée pour ne pas empester toute la maison.
La cigarette est interdite chez moi, à cause des problèmes d’asthme de ma mère et des problèmes cardiaques de mon beau-père.
Ceux qui veulent fumer le font à l’extérieur, sur la galerie, là ou les chaises de patio et les tables en marbre sont à leur disposition.
Ça empêche que toute la maison soit empestée par cette odeur désagréable.
Ne pensez même pas de vous cacher dans les toilettes pour fumer, car nous le saurons! Nous avons l’odorat très développé, surtout ma mère, la véritable senteuse de la famille!
Véritable gaspillage d’argent cette cigarette!
Avec toutes les maladies qui courent, cancer et autres cochonneries, on devrait tous être un peu plus vigilants et mettre les chances de notre côté.
Je ne suis pas obsédée par la santé au point de devenir une véritable hypocondriaque, mais je fais quand même attention à moi.
Si je ne le fais pas, qui va le faire?