vendredi 1 février 2013

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 15

Les questions s’accumulent et les réponses deviennent de plus en plus complexes, voire rares!
Les nuances et les métaphores semblent être des éléments cruciaux et bien enracinés  dans les discussions de notre société.
Il semble que faire semblant, et de prétendre de parler d’autre chose que le sujet choisi, surtout si celui-ci  est controversé et choquant, est une chose trop répandue et fortement irritante.
Les âmes sensibles de ce monde aiment les nuances et les illusions. Toue excuse est bonne pour exiger la censure; pour ne pas déranger et surtout, pour ne pas faire réfléchir.
S’il fallait que des gens s’élèvent au-dessus de leurs facultés intellectuelles tellement minables!
Et dire que nous vivons dans une société libre, qui favorise et encourage la liberté d’expression!
Sommes-nous vraiment libres lorsque ces salauds hautement placés tentent de censurer et de museler tous les « ’brasseux »’  et les « ’langues sales »’ de notre chère collectivité?
Encore une fois, je pense trop…
Je me laisse souvent emporter par les aspects de la vie qui sont (en toute honnêteté) sans importance et absolument inchangeables.
Mais au moins, je ne risque pas de mourir d’ennui.


L’hypocrisie et la méchanceté de certaines personnes ne cesseront jamais de me surprendre. Et de m’attrister.
Imaginez pour un moment, que vous êtes une personne de 75 ans, atteinte d’un cancer quelconque, et que vous appreniez, un peu avant noël, que la personne avec qui vous partager la vie depuis plus de 13 ans, a fait des plans pour le temps des fêtes avec ses trois enfants et ses petits-enfants, sans vous y inclure…
Que ressentiriez-vous?
De la colère?
De la peine?
Mais peu importe vos sentiments, Il est certain que vous n’y resteriez pas indifférent.
Et malheureusement, c’est une histoire vraie.
Le plus triste là-dedans, c’est que sa compagne fut encouragée à faire cela par ses enfants…
Quand j’ai appris la nouvelle, j’étais triste.
Triste pour lui, et déçu du fait que les personnes qui l’ont exclu semblent ne pas voir à quel point tout cela lui a fait mal à l’âme…
Il ne passera pas Noël seul.
Il sera avec nous.
Parce qu’il fait partie de la famille et qu’il est une personne très chère à nos yeux.
Son dernier Noël sera merveilleux malgré les circonstances.
Pour lui remonter le moral, ma mère et moi sommes allez lui faire un arbre-de-Noël dans sa chambre au centre d’accueil.
L’esprit de Noël remonte le moral à chaque fois!
Les décorations sont partout.
Si beau et si festif, en les regardant, il est impossible de ne pas vouloir célébrer ce temps de l’année avec nos êtres chers.
Y a-t-il quelque chose de plus dépriment qu’être seul à noël?
Peu de choses me viennent à l’esprit…
Soyons honnêtes, c’est une véritable horreur!
Une horreur totale, à saveur suicidaire et bien enrobée d’une belle grosse couche de déprime.
Un plan pour nous donner l’envie de nous ouvrir les veines…
Coupe, déchire, saigne…
Coupe, déchire, saigne…
Coupe, déchire, saigne…
Ça ne sera peut-être pas si mal dans le fond.
Le rouge, c’est une couleur de Noël après tout…
Vous direz sans doute : et le brun, c’est la couleur de quoi, hein?
Je rougirais…
Ensuite, je répondrais : Brun? Et bien, c’est la couleur du chocolat! J
Et c’est aussi la couleur d'une autre substance, mal odorante et que personne n’oserait s’en mettre dans la bouche (beurk!)
Vous avez deviné de quoi il s’agit?
Je l’espère bien, car sinon, vous avez baissé dans mon estime…

 Avant Noël, et avant de commencer à faire les boutiques pour mon magasinage du temps des fêtes, je me suis aperçu à quel point, il était difficile de trouver une crèche…
Je n’y avais jamais prêté attention, mais lorsque ma mère me demanda d’en trouver une pour mon grand-père, la recherche a fini par être beaucoup plus longue que prévu.
Et le pire, c’est que je n’ai rien trouvé. J’ai finalement emprunté une crèche de ma grand-mère paternelle, qui est accro aux décorations de Noël.
Heureusement qu’elle m’a offert une solution, sinon, j’imagine que je serais encore dans les magasins…
Le p’tit Jésus se sauve de moi.
Je le fait surement trop brailler, avec mon langage vulgaire et mon humour noir.
Mon cœur saigne…
God bless my bleeding heart.  Eat shit and die, little old me…
Je commence à me taper sur les nerfs!
Je devrais sans doute prendre une vacance et m’éloigner de moi-même…
Trou de cul qui fait du vent! LA LA-LA-LA-LA!
Je suis à la recherche du bonheur éternel, de l’homme parfait et d’une vie de rêve.
Mais en attendant, je devrais rester à l’école, travailler et arrêter de chialer de tout et de rien.
Plus facile à dire qu’à faire…
Vivre sans chialer, ce n’est pas vivre crisse!
Chiale, beugle, cris, sacre, et gueule!
C’est presque aussi bon que de prendre des vitamines…
Peut-être bien, mais j’ai toujours besoin de mon café pendant la journée.
Surtout le matin, quand je suis comme un zombie malhabile et blême comme un drap.
Pas étonnant que Teddy et Jake-chouchou ont peur de moi…

Moi, qui en décembre, pensait que j’en aurais fini avec les mauvaises nouvelles, eh bien non. Nous avons eu une très méchante surprise le jour de Noël.
1 mois plus tard, c’est toujours une source de tristesse pour ma famille.
Ne vous inquiéter pas, il n’y a personne de mort, seulement des individus déçus de la tournure des événements.
Mon grand-père n‘a pas pu quitter le centre d’accueil pour être avec nous à Noël. 
Pourquoi?
À cause d’une épidémie de la grippe influenza, tout le centre fut placé en quarantaine.
Dire que nous étions déçus serait un mensonge de proportion incroyable.
Ouais, nous avons vécu un Noël assez déprimant, mais aucun mot ne peut décrire la tristesse, la solitude et le désappointement qu’il a dû vivre pendant cette journée qui, avant toute cette merde, s’annonçait très prometteuse.
Mais la vie continue, même après les grandes déceptions.
J’aurais aimé que les choses soient différentes, mais je n’y peux rien.


Pour les « ’facebookeux »’ de ce monde, j’aimerais vous faire part d’une de mes découvertes les plus récentes.
Le « ’personnage »’ ou la  « ’personnalité publique »’ qui est MagiCJacK.
Artiste fortement maquillé et activiste pour un grand nombre de causes dont le racisme, l’homophobie, le spécisme, la maltraitance animale, la défense du style de vie végétarien et la surconsommation extrême de l’occident pour en nommer que quelques-unes.
JacK partage des images choquantes pour but de faire réagir et de faire réfléchir les gens. Images qui ne laisseront personne indifférent.
Allez constater cela par vous-même :   https://www.facebook.com/#!/MagicJackTv 
J’ai  découvert MagiCJacK par pur accident, sans rechercher du matériel dérangeant pour les yeux et pour l’esprit.
Heureusement, certaines de ces images m’ont ouvert les yeux sur bien des sujets. Je savais que les choses n’allaient pas bien, mais j’ignorais qu’elles étaient  corrompues à ce point.
Notamment, sur le traitement des animaux dans les abattoirs.
J’avais entendu des histoires pas trop chiches sur le sujet, mais les images m’ont montré le vrai visage cauchemardesque de l’industrie de la viande.
Faites des recherches approfondies sur le sujet ou visitez la page web de MagiCJacK pour le constater par vous-même.
Âmes sensibles, abstenez-vous!
Ça brasse, ça brule les yeux et ça dérange!
Mais c’est un mal nécessaire…
C’est un petit prix à payer pour apporter de nouvelles idées à la population, et à faire réfléchir les gens sur les faces cachées de notre société et des industries qui s’y trouvent.
Je devrais sans doute crée un nouveau blog sur le sujet, ou simplement sur la cause animale.
Je crois que l’année 2013 sera l’année des grands changements pour ma chère personne.
Les sujets controversés m’inspirent, et j’espère que ce sera pour le mieux.
Bref, je me suis rendu compte de mon manque de jugement face aux animaux et à mon alimentation.
Depuis toujours, je dis à qui veut l’entendre que j’aime les animaux, j’osais dire cela quand je mangeais leur chair tous les jours…
J’étais une hypocrite, et je l’assume pleinement.
Oui, « ’j’étais »’, car j’ai fait une crois sur la viande pour de bon.
La viande a été remplacée par le tofu, le riz, les pâtes et le blé entier.
Maintenant, mes affirmations ont beaucoup plus de sens et de substance.
Ce choix n’est pas le résultat d’une rébellion ou d’un lavage de cerveau, mais bien d’un choix personnel, pris après avoir été proprement informé sur les réalités de l’industrie.
Je sais que cela causera des problèmes, surtout avec ma famille paternelle. Eux, qui mangent de la chair animale plusieurs fois par jour, ne comprendront pas.
Mais ça, c’est leur problème, pas le mien.
J’ai la drôle d’impression qu’une chicane de famille est imminente…
Mais encore une fois, s’ils n’aiment pas mon choix, ça les regarde, mais je ne laisserais pas leurs opinions affecter mes convictions.
La viande me dégoute maintenant, car je vois ce qu’elle contient, et ce n’est pas nécessairement bon pour le corps et pour l’âme.
Je crois qu’une discussion est de mise. Mais je redoute du moment où je devrais leur annoncer la vérité.
À suivre….

mercredi 24 octobre 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 14

Pourquoi y a-t-il un poisson rouge sur le tableau bleu merde de ma classe?
C’est la question à 5 $!
Ça me fatigue parfois, les choses que je remarque.
Stupide et inutile, cela les décrits bien!
L’horloge sur le mur à ma droite indique 2h10pm.
Encore une heure et je pourrais décamper de cet enfer.
Je regarde la carte du monde et j’ai presque envie de verser une larme.
Pourquoi est-ce que mon père n’est pas pilote d’avion?
J’en connais quelques-uns qui ont crissement beaucoup de chance.
Je suis assez chanceuse tout de même.
Au moins, je n’habite pas dans un enfer terrestre.
Je ne peux en dire autant pour certaines personnes.
L’enfer sur la terre n’est-il pas un calvaire créé par soi-même?
Peut-être que oui, peut-être que non.
Cela dépend toujours des perceptions et de notre préférence entre la joie et la souffrance.
J’aimerais bien y comprendre quelque chose, mais j’ose croire qu’il n’y a pas grand-chose à saisir sur le sujet.
Pourquoi être misérable quand nous pouvons nous tenir droits et exiger de la vie ce que nous méritons : le bonheur?
C’est beaucoup de contenu philosophique venant d’une personne comme moi!
Rationalisation à 5 cennes, mais qui est tout de même vraie!
Est-ce que c’est juste moi qui ai remarqué que nous parlons toujours des mêmes choses, des mêmes sujets?
Où est la variété?
Où est la spontanéité?
Soyons différents!
Soyons authentiques!
Soyons aventuriers!
Bref… Soyons nous-mêmes tout simplement.
Ça fait un foutu bon moment que je ne m’emmerde plus avec les opinions des autres.
J’ai appris que la seule chose qui compte, c’est l’opinion que vous avez de vous-même.
Le reste est totalement secondaire.


Je crois bien que la vie me réserve encore bien des surprises.
La preuve : le renouvellement d’une belle amitié que je croyais terminer.
Disons juste que nous avons changé depuis un an. Nous ne sommes plus les mêmes personnes. Nous sommes devenues moins négatives et une plus grande ouverture d’esprit s’est développée pour nous deux.
Il faut bien apprendre de ses erreurs et ce souvenir qu’il y a toujours place pour l’amélioration.
C’est bon de savoir que quelqu’un vous estime et qu’il continue de croire en vous.
Je me demande si je mérite vraiment une seconde chance.
Après tout ce que c’est passé en 2011, les décisions de certaines personnes me surprennent.
Il m’arrive encore de douter de mon jugement et de mon sens critique.
J’ai fortement manqué de jugement en janvier 2011, et je souhaite du fond su cœur de ne pas revivre une telle expérience.
Il m’arrive de déraper, d’exagérer, de profaner.
Finalement, je ne suis qu’une simple mortelle.
Personne n’est vraiment à l’abri des bosses dangereuses dans la route.
Les métaphores stupides me suivent comme  la peste, mais je dois avouer qu’elles décrivent bien mes idées et mes opinions sur la plus grande variété de sujets.
Il y a tant de choses à dire et à faire, dans des centaines de différentes façons.
Je dis vraiment n’importe quoi!
Ce n’est rien de nouveau…
Je fais simplement honneur à ma folie furieuse!
Je suis une créature d’habitude…
J’essaie tout de même de garder les bonnes et de me débarrasser des mauvaises.


Il faut vraiment que j’arrête d’acheter des bouquins!
C’est presque aussi pire que la drogue!
Chose que je n’ai jamais essayée en passant…
Je ressens tout de même une très grande satisfaction quand je trouve un livre que je désirais déjà, un livre à un prix absolument ridicule.
Un prix tellement bas que j’ai l’impression de commettre un vol dans ce magasin que j’aime tant visiter.
Non, mais vraiment, je dois fixer des limites à mes dépenses!
L’achat de cadeaux de Noël s’annonce déjà comme une tâche pénible.
Je ne tiens pas à dépenser plus de 100 $ cette année. Comme cadeaux, je ferais des bijoux, des biscuits provenant de ma recette faite avec du fromage Philadelphia et je préparerais des petites boites de bonbons, chose que j’ai commencé à faire il y a quelques années.
E t il est même possible que nous fassions un échange de cadeaux!
Je stresse juste à y penser!
Je souhaite juste de piger une personne auquel il ne me sera pas trop difficile de leur trouver un cadeau.
J’ai déjà quelques idées, mais le tout sera déterminé quand je connaîtrai l’identité de la personne que j’aurais pigée au hasard.
Il ne faut surtout pas que mes grands-parents et que mon père découvrent que j’ai déjà trouvé leurs cadeaux de noël … Dans une vente de garage!
Je suis peut-être cheap, mais les trucs que j’ai trouvés ne sont pas si mal.
Une petite figurine d’ourson de Noël pour ma grand-mère (pas une babiole cheap du magasin à 1 $!) Un nouveau livre pour mon grand-père (il est vraiment neuf! Le livre j’veux dire…) Et un coffre en bois pour mon père.
Bien entendu, ce n’est pas le cadre de papillons à 40 $ que je voulais lui acheter, mais c’est bien quand même. En plus, je me suis économisé 38 $ J

Vive les économies!
J’espère juste de ne pas passer pour une véritable gratte-cenne quand vient le temps d’offrir des cadeaux.
Bien emballés et bien présentés, il ne devrait pas y avoir de problème.

Une autre longue semaine s’annonce, mais heureusement, une petite vacance de quatre jours est en vue.
Je pourrais enfin relaxer et décrocher du quotidien infernal de la ville avec n bon verre de Sangria à la main.
Surtout quand on parle de la recette secrète de ma chère maman!
TBNK que c’est bon!


J’écris cette histoire, mon histoire, mas je n’ai jamais écrit de journal intime, à mois que ceci en est l’équivalence.
La dernière fois que j’ai eue quelque chose de similaire à un journal, j’étais en 4e année du primaire, et les choses que j’écrivais étaient tout simplement pathétiques et stupides.
J’écrivais à propos d’un garçon que j’aimais bien, et de ma cousine Roxanne, qui était toujours méchante avec moi.
Et dire qu’en classe, j’étais toujours forcée de m’asseoir à côté d’elle! 
J’ai jeté ce journal, et je l’ai fait sans aucune hésitation. Cela me rappelait de mauvais souvenirs, d’une époque qui était sans doute la pire de ma vie.
Ça puait la merde, je peux vous le dire!
J’étais heureuse de déguerpir de là après avoir fini mon primaire, mais parfois la peste peut vous suivre.
Je suis heureuse d’être maintenant entourée d’adultes matures, respectueux et travaillants.
Sur une autre note, j’ai récemment appris que le Doc Mailloux s’est fait radier de son poste encore une fois, pour une période de deux ans.
J’ignore si je devrais rire ou pleurer…
Il me semble que la seule attention médiatique que reçoit notre psy favori est négative, et ça, depuis un bon moment.
L’honnêteté  brutale a ses conséquences, et les imbéciles continues à rependre leurs propos insensés sur la place publique.
Je suis tellement découragé par notre société et par notre gouvernement, plus pourri que jamais, que je songe sérieusement à quitter le Québec.
On vit dans la province la plus taxée de l’Amérique du Nord après tout!
Pourquoi?
À cause de la dette nationale?
À cause de nos soins de santé soi-disant gratuits, qui forcent le gouvernement à surtaxer tout le reste?
Bref, toutes les raisons sont bonnes, mais une chose est sure : j’en ai marre.
Comment est-ce que je sais que nous payons trop?
Parce que j’ai voyagé. Pas beaucoup, mais assez pour remarquer les différences de prix de presque tout en magasin, et des maisons.
C’est à cause de ça que je suis (pus ou moins) au courant de notre situation décourageante.
Sans vouloir me vanter ou de faire suer certaines personnes, pour moi, mon projet de quitter notre ‘’belle province’’ sera probablement plus réalisable puisque je suis bilingue.
C’est un énorme avantage, surtout pour les gens qui veulent allez voir ailleurs, et même y vivre.
Je dois remercier ma chère maman pour m’avoir enfoncé l’anglais dans la tête.
Mais assez parlé de mon état de bilinguisme forcé (mais apprécié)
Depuis un certain temps, mes petites dépenses ont pris de l’expansion, simplement parce que je m’emmerde.
J’ai tout de même assez de restreintes pour ne pas faire de retraits de mon compte bancaire.
Évidemment, si je veux arriver à mon objectif de 1200.00 $ d’économies d’ici la fin de l’année, je vais devoir me mettre des limites, pénibles, mais nécessaires.
J’ai recommencé la lecture de Tout Alice, écrit par Lewis Carroll, et je me suis servie de ma carte de bibliothèque pour la première fois.
Juste un petit roman facile à lire, court et intéressant, basé sur un fait vécu.
L’auteur nous raconte l’histoire de Michel Lemare, un archéologue montréalais qui se fait engager par un Immigrant chinois afin d’identifier et trouver de l’information sur une collection d’artéfacts, que celui-ci a récemment obtenue de la part de sa famille, encore située dans son pays d’origine.
Bref, une bonne lecture qui me guérira de mon ennui.
En toute honnêteté, je devrais me concentrer davantage sur ma propre bibliothèque, et mes dizaines (mêmes centaines) de livres que je n’ai pas encore pris le temps de lire.
Un grand ménage est de mise, et avec un peu de chance, j’aurais assez de trucs pour faire une autre vente de garage l’été prochain!
Nous avons bien des plans, ma mère et moi.
Entre autres, faire un nouveau voyage en Caroline du Sud l’an prochain.
Quand je pense que ça fait plus d’un an que nous y sommes allez, j’ai du mal à le croire!
Mais les souvenirs que nous avons acquis sont tout simplement merveilleux, et on fait du voyage une chose qui en valait vraiment la peine.
J’ai déjà hâte d’y retourner!
L’anticipation est pénible, mais tellement belle!
Je sens que je vais péter les plombs!
Mais heureusement, j’économise de plus en plus pour mon voyage, mais je dois dire que je trouve l’attente un peu trop longue.
J’espère partir l’an prochain, ou même cet hiver.
J’ai besoin de changement.

vendredi 12 octobre 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 13

La vie est remplie de surprises, de rencontres et de belles amitiés.
Dernièrement, les événements, heureux ou tristes, se suivent rapidement, m’offrant peu de répit. 
Mes vacances d’été se sont déroulées dans le calme, sans trop de turbulence.
J’ai passé la grande partie de mon temps à Chénéville, dans notre ‘’ petite maison pas payée’’, qui est en réalité notre chalet, notre lieu de repos.
Pas de télé, pas d’internet, voilà le moyen idéal de décrocher !
Je ne me suis jamais autant reposé qu’à cet endroit. Je peux lire, écrire, peindre et confectionner des bijoux sans toutes les distractions de la ville.
On semble toujours trouver des choses à faire quand la télévision est absente.
Nos projets se réalisent plus rapidement, et sont suivis par d’autres réalisations artistiques.
J’ai terminé ma plus belle toile cet été, un abstrait (pas surprenant!), avec trois fleurs proéminentes : une rouge, une bleue et une argentée. Faite en trois étapes, les couleurs principales et ensuite les détails finals, celle-ci m’a pris plus de deux semaines à compléter.
Entre les étapes de ma toile, j’ai également essayé la peinture sur roche (ma première fois), et le résultat final de mes tentatives était très satisfaisant. J’ai été inspirée par les quelques artisans que j’ai rencontrés lors de ma visite au Festi-Art de Montpellier.
C’est vraiment surprenant, les choses que les gens peuvent faire.
Je sais que l’an prochain, j’aimerais bien y participer, ainsi qu’à celui de Chénéville.
Je dois donc débuter la production  et confectionner des bijoux, afin d’assurer le succès de mes futures ventes.
Ce bâtir un inventaire, voilà le secret!
Cet été, nous avons fait deux ventes de garage, ma mère et moi, les tables bien installées, devant notre petite ‘’maison pas payée’’, au beau milieu de nulle part.  J’ai été plaisamment surprise du succès de nos ventes. Chénéville est un endroit très passant pendant les vacances d’été.les campeurs y arrêtent pour s’approvisionner, allez au restaurant, ou simplement pour faire le tour des petites boutiques.
Les boutiques d’artisanat ne manquent pas dans ce petit village. Il y a également un antiquaire et deux magasins d’articles usagés.
 Deux boulangeries et une boucherie y sont situées. La boucherie est très populaire; des gens de Gatineau sont même prêts à faire 40 minutes de route afin d’acheter leurs produits maison.
Essayer la quiche aux canneberges et zestes d’orages ou la mousse au foie de volaille et à la pistache! Ce sont des délices absolus!
Je tiens à mentionner que je n’ai gouté qu’à seulement quelques –un de leurs produits, mais d’ès que j’aurais la chance de déguster autre chose, j’en ferais mention.
Il ne faut pas être riche, mais ça aide quand vient le temps de faire des excès.
Il y a-t-il un temps idéal pour exagérer?
Quand on est écœuré d’écouter notre mère irritante se plaindre.  Quand nous avons envie de massacrer notre parton simplement parce qu’il est un trou de cul, ou pour le plaisir d’exagérer, parce qu’on peut.
En parlant de délices et d’excès, tout cela me donne le goût de manger un bretzel au pain!
Surdose de sodium en vue!
Miam!
Je devrais demander à mon ingrate de meilleure amie de me donner la recette.
J’attends toujours son appel.
Ah! Les joies du déménagement!
Un dilemme m’est soudainement apparu. Il consiste en grande partie sur la nécessité de nos relations amicales et familiales.
Être trop proche de quelqu’un n’est –il pas un signe de dépendance affective?
La question m’est venue à l’esprit dernièrement.   
J’imagine que cela peut devenir un problème si nous sommes incapables de fonctionner sans la présence de cette personne, qui assurément, prend une trop grande place dans notre vie si nous rencontrons  des difficultés de ce genre.
C’est presque pire que de prendre de la drogue!
Tout ce que ça fait c’est de nous ramollir le cerveau et de nous rendre encore plus stupides!
Comme si c’était possible de s’abaisser encore plus dans l’échelle de l’imbécilité!
J’ai besoin d’espoir… et d’un bon verre de vin!


Ça vous est-il déjà arrivé d’avoir des idées meurtrières?
Si vous étiez sûr de ne jamais vous faire prendre, feriez-vous quelque chose d’immoral et d’illégal?
Il y en a un que je pousserais du bord d’une falaise, que je mettrais du poison dans leur café (ou sa bière = Alcolo!) ou que je saboterais les freins de leur voiture (s’il en avait une!)
Ça m’est déjà venu à l’idée, des choses qui me serais possibles de faire si je n’étais pas à risque de faire de la prison et d’avoir un dossier judiciaire qui ruinerait ma vie et mes rêves de voyages et d’aventures.
Laissons ces idioties imaginaires nous démanger les neurones, mais faisons sorte qu’elles ne deviennent jamais chose réelle.
Je ressens un certain vide, un désir qui, malheureusement, ne s’est pas réalisé.
J’ai besoin de vacances.
Je sais trop bien ce que vous allez penser; que mes vacances d’été ont pris fin il y a seulement quelques semaines, alors pourquoi en vouloir d’autre aussi tôt?
Quand je pense aux vacances idéales, beaucoup de choses me viennent à l’esprit.
Les visites dans les musées de la région, le plein air, la plage, la piscine, les longues balades en voiture sans bût précis, les marchés aux puces, les ventes de garage et les friperies.
J’en passe, mais à mon avis, les vacances d’été devraient être remplies de projets réalisables et de sorties amusantes.
Quand nous sommes pauvres ou fauchés, il faut bien trouver des moyens de se divertir.
Les sorties à petit prix sont nombreuses, alors le problème n’est pas là.
Je suis au courant que certaines personnes de notre société estiment très peu les petites sorties non dispendieuses.
On dirait que quand les coûts n’y sont pas, le plaisir a assurément pris la porte aussi.
Avec une mentalité comme celle-là, on se prive de bien des bonheurs.
Je connais deux individus en particulier, un couple, qui ne vit que pour travailler. Ils n’ont aucun passe-temps, aucune sortie. Seulement le travail et la vie à la maison, rien d’autre.
Et ils se plaignent d’avoir une vie ennuyeuse et de souffrir de dépression.
Ils n’en connaissent pas la raison.
Pour moi, la cause de leur mal de vivre et de leur état dépressif est bien claire.
Certaines personnes n’apprendront jamais…

jeudi 20 septembre 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 12

Prévoir une fin?
C’est de la pure folie à mes yeux.
Prévoir ou planifier une fin, c’est comme souhaiter que ça se termine, ce qui est inacceptable et inconcevable.
Je n’ai pas grand-chose à dire la dessus, juste qu’aucune de mes histoires n’achève au temps présent.
Je dois par contre, écrire un nouveau chapitre pour l’histoire de Damien, le bébé monstrueux.  J’ai déjà  plusieurs idées, notamment de faire un bond de 15-20 ans dans l’histoire, comme que j’ai fait avec celle de Léon. Cela me permettrait de passer aux choses sérieuses et de vraiment entamer le récit.
Des choses beaucoup plus intéressantes pourront être racontées, des nouvelles expériences pourront être vécues.
J’ai hâte de le voir grandir, maturer, évoluer…
En écrivant cette histoire, plus de 4 ans après le début de mon premier récit, celui de Léon, j’ai tenté, avec succès jusqu’à présent, de ne pas trop m’inspirer des faits mentionnés dans la première histoire.
Contrairement à Léon, dont la naissance a été perçue comme une véritable malédiction (son apparence bestiale a fait fuir son père biologique) Damien a eu un commencement de vie un peu plus facile. Ses parents, mère et père ne l’ont pas abandonné, bien au contraire, ils ont fait de pied et de main pour assurer sa sécurité.
Damien n’a pas passé la totalité de sa vie dans l’isolation, contrairement à Léon, qui n’a jamais eu d’autre relation significative qu’avec sa mère, et maintenant Bella.
Il est évident que ces deux personnages ont des points en commun, mais les ressemblances ne s’étendent pas sur tous les aspects de leurs vies.


On écrit pour fuir la réalité, mais on fuit quoi au juste?
De notre quotidien mortellement ennuyeux, de nos troubles (financiers, mentaux ou autre) ou  pour échapper aux lamentations insupportables de notre partenaire de vie (ou de la belle-mère aussi!), nos enfants ou de notre patron emmerdeur (eusse).
Les raisons sont bonnes, voire infinies!
Notre vie quotidienne est-elle si ennuyeuse qu’il nous faut trouver des moyens de s’en échapper, même pour seulement quelques minutes?
La lecture est un bon moyen de faire ça, tout comme les jeux vidéo, la télévision et l’internet.
Toutes ces belles choses ne sont bonnes que pour nous faire fondre la cervelle!
Quelles pertes de temps!
Je pourrais très bien vivre sans la télé et même l’ordinateur.
On perd beaucoup trop de temps avec ces machines du diable.
Il y a longtemps que je n’écoute la télévision que le soir, principalement parce que je n’ai rien de mieux à faire.
J’écoute presque exclusivement des émissions éducatives. Tant qu’à perdre son temps avec la télé, vaut mieux apprendre quelque chose!
J’en ai marre de parler de ces idioties!
Changeons de sujet avant que je me mette à pleurer!
Pourquoi ne pas parler des menteurs et des personnes hypocrites qui nous entourent?
Ceux qui vous regardent en plein visage et vous disent non, quand ils devraient plutôt vous répondre d’un oui, afin de préserver leur crédibilité, du moins à vos yeux.
Je vais l’avouer pleinement, j’ai menti, il n’y a pas si longtemps (le 10 avril 2012)
À cause de la mauvaise température qui s’annonçait, j’ai fait croire à mon amie que je n’irais pas faire des courses en ville, ce qui était faux.
Il ne pleuvait pas suffisamment pour m’empêcher de sortir de la maison.
Je suis tout de même assez en ville, sans elle, tandis qu’elle me croyait à la maison à faire du ménage. Je voulais y allez seule, et je voulais faire les choses qui  me plaisent sans avoir une autre personne à côté de moi, me donnant son avis sur les trucs dont je ne veux pas avoir d’autre opinion que la mienne.
Bref, je voulais  avoir la sainte paix! Est-ce trop en demander?
J’aime de moins en moins aire des sorties de magasinages avec  d’autres, principalement parce que très peu de gens de mon entourage (ceux qui font des sorties avec moi) aiment faire le tour des boutiques d’articles usagés, sauf ma mère, qui ne devrait sans doute pas mettre les pieds dans des endroits de ce genre.
J’ai finalement réussi, après plusieurs années d’essais,  à convertir ma grand-mère aux magasins de patentes à gosse usagés. Elle y va surtout pour acheter des livres, des matériaux d’artisanat et des décorations de Noël.
Qui n’aime pas les aubaines?


Je pense sérieusement à me débarrasser de tous mes sacs à main (ou presque) pour n’avoir que mon sac miche, aux coquilles multiples.
Vous vous demandez sans doute : c’est quoi un crisse de sac miche maudit TBNK?
(Oubliez les gros mots, âmes et yeux sensibles)
Un sac à main miche (original et non répliqué) est un sac à main de forme rectangulaire, pourvu de bandes magnétiques placées horizontalement  au haut des plus grands côtés. Les bandes magnétiques ont une utilité qui rend le sac miche très spécial, car un peut changer les ‘’coquilles’’ extérieures afin d’avoir un nouveau look; applicable sans effort, nous pouvons, grâce à elles, changer de style sans changer de sac à main.
Je n’ai que quatre coquilles, et j‘aimerais bien en avoir plus. Peut-être  serais-je assez chanceuse pour en trouver quelques-unes dans mes boutiques favorites.
Sinon, je peux toujours en acheter des neuves.
Je suis allé sur le site officiel des sacs miche, pour savoir les dates de ventes au Costco de ma région. Ces sacs à main sont seulement disponibles quelques semaines par année, au grand désarroi  des femmes comme moi, mourant d’envie de se procurer les accessoires de leur choix pour leur sac miche.
Je pourrais en commander sur internet, mais c’est beaucoup plus dispendieux que d’acheter les articles en magasin.
Je suis complètement fauché, alors évitons les dépenses compulsives tant qu’on peut!



Dans la vie, il peut parfois arriver des imprévus, qui peuvent être plaisants ou inconvénients.
Mes soucis financiers me tracassent légèrement, mais je me réjouis de savoir que l’argent s’en vient. J’ai fait plus de 500 $ cet été, et l’automne s’annonce comme en étant une période lucrative.
S’est soulageant de savoir que mes jours de pauvreté sont comptés!
Bien sûr, j’avais tellement de trucs indésirables sans ma chambre que j’ai pu faire trois grosses ventes de garage à Chénéville.
Bonjour l’argent!
Et la préparation recommence pour l’an prochain…


Laissez-moi vous raconter une petite anecdote qui s’est déroulée il n’y a pas si longtemps.
Elle va sans doute paraitre stupide, mais elle m’a quand même fait réfléchir.
Nous avions eu la visite d’un couple d’amis de ma mère, Duane et Sharon, pour quelques jours à la maison, afin qu’ils puissent rendre visite à mon grand-père, dont a santé était, et est encore, peu favorable.
Pour vous mettre en contexte, et pour faciliter la compréhension de ce qui suit, je vais mentionner certaines choses à leur sujet.
Mes grands-parents maternels et les parents de Duane, Charlie et Yvonne, se sont rencontrés au parc  La Vérendrie, et une très belle complicité s’en suivit; une amitié qui durant plus de 40 ans.

Sharon, l’épouse de notre cher ami Duane, est devenue très amicale avec ma mère et moi, de sorte que nous avons développé une très belle amitié.
Celle-ci m’a appris durant sa dernière visite, qu’elle n’avait jamais vue d’écureuil noir auparavant…
Moi qui en vois tous les jours, disons juste que j’étais surprise par cette déclaration.
Questions, commentaires et prise de photos s’en on suivit.
Je ne m’attendais pas du tout à ce genre de déclaration. Absolument inoffensive pour  elle, mais à mes yeux, elle semblait absolument ridicule.
Session de capotage intense, tout ça à cause d’un foutu écureuil noir!
Et dire que je pensais être tombée sur la tête!

vendredi 27 avril 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 11

En regardant des épisodes des belles histoires des pays d’en haut, émission favorite par excellence de mon père, je suis venue à la conclusion que Séraphin et moi avons plusieurs points en commun : J’aime l’argent (et la compter!) et j’ambitionne à en avoir plus.
Mais je ne suis pas avare à l’extrême pour autant.
Non, je sais partager quand vient le temps. Je n’ai jamais abusé de qui que ce soit ou de quoi que ce soit.
Le mot ‘’cheap’’ peut parfois s’appliquer à moi, mais ce n’est pas toujours le cas.
Il y en a, j’en suis certaine, qui sont beaucoup plus gratte cenne que moi, comme il y en a, sans doute, qui le sont moins.
Mais bon, chacun vit selon ses moyens…


J’ai déjà commencé la rédaction du 12e chapitre de Baby or Beast, l’histoire de  Bella et Léon.
Après d’importantes considérations, j’ai décidé de commencer la traduction du premier chapitre.
Après quatre ans, il est temps de commencer!
Devrais-je crée un blog spécialement pour ça?
Cela reste à voir, mais j’y songe fortement.
J’ai également commencé à écrire des critiques littéraires sur mes livres favoris venant de ma collection personnelle ou de la bibliothèque de mon école.
J’ai terminé plusieurs segments, donc celui du livre de Lewis Carroll, Tout Alice, et plus récemment, Au nom de tous les miens de Martin Gray.
J’adore partager mes opinions sur les livres que j’aime et ceux que je découvre.
Une autre passion est née, mais mes autres projets ne seront pas délaissés pour autant.
Je jongle mes projets avec dextérité, sans ressentir de problèmes ou en étant victime du syndrome de la page blanche.
Le pire châtiment pour un écrivain (je ne prétends pas en être un!), c’est bien de souffrir de cette ‘’maladie’’.
Je crois savoir de quoi je parle, après avoir fait une pause de plus d’un an par manque d’inspiration totale.
Je vais simplement dire : plus jamais!
Mais quelqu’un m’a dit il y a très longtemps de ne jamais dire jamais…
Je déteste les gens qui me font la morale!        
J’aurais envie de crier, mais je me tais, car je ne suis pas seule.
Avec des milliers d’êtres humains sur la terre, je ne serais jamais véritablement seule…
C’est une constatation assez déprimante quand on vient à y penser!
Je pense soudainement à une autre chose qu’on m’a dit il n’y a pas si longtemps : tu es unique, mais tu n’es pas la seule à l’être.
Ce qui veut dire : tout le monde est unique à sa façon, mais tout le monde est unique tout de même. Ça veut dire qu’on n’est pas si unique que ça dans le fond…
C’est étourdissant tout ce  charabia!
Assez pour me donner des maux de tête et d’éveiller en moi un désir d’écrire un autre chapitre de niaiseries inutiles et pénibles à lire.
Les gens parlent pour parler, mais les paroles veulent-elles vraiment dire quelque chose?
Le monologue sans substance des gens de mon entourage me frustre au plus haut point.
Ils aiment s’entendre parler, ni plus ni moins.


Je me demande bien quoi faire pendant mes prochaines vacances.
Une bonne session de magasinage serait peut-être à l’horaire (encore!)
Eh oui! Je ne peux m’en empêcher, mais je vais m’imposer un budget strict!
Faire du magasinage dans des boutiques d’articles usagés est très économique, et si je suis capable de me trouver de nouvelles poupées, tant mieux!
Trouver des nouveaux trésors est le moyen idéal pour me rendre heureuse, au point de frôler la folie!
Ce n’est Folie inoffensive, il n’y a rien à craindre!
En regardant des émissions d’attaques animales à la télévision, je me suis aperçu à quel point les gens sont imprudent, voir stupide.
Allez vous mettre devant un ours enragé et écœurez-le pour voir!
Vous allez avoir une vilaine surprise!
Certaines personnes devraient se tenir loin des forêts.
Tous est une question de sécurité !
Mais j’ai la certitude que le monde serait moins pénible à endurer si certains de ces imbéciles s’étaient fait dévorer par ces animaux enragés.
Oh, que je suis méchante!
Gentil ou pas, c’est tout de même légal!
Je suis capable de beaucoup plus d’intensité, mais je vais en garder en réserve. Il est coutume de garder le meilleur pour la fin.
Ou devrais-je dire ‘’la suite’’?
Je n’ai aucune intention immédiate de terminée cette histoire, loin le là.
Tant que j’aurais quelque chose à dire, des opinions à partager et des raisons de chialer (sans devoir me censurer), il y aura des suites.
Je continue toujours mes projets, même quand je n’arrive pas à voir une fin.