vendredi 27 avril 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 11

En regardant des épisodes des belles histoires des pays d’en haut, émission favorite par excellence de mon père, je suis venue à la conclusion que Séraphin et moi avons plusieurs points en commun : J’aime l’argent (et la compter!) et j’ambitionne à en avoir plus.
Mais je ne suis pas avare à l’extrême pour autant.
Non, je sais partager quand vient le temps. Je n’ai jamais abusé de qui que ce soit ou de quoi que ce soit.
Le mot ‘’cheap’’ peut parfois s’appliquer à moi, mais ce n’est pas toujours le cas.
Il y en a, j’en suis certaine, qui sont beaucoup plus gratte cenne que moi, comme il y en a, sans doute, qui le sont moins.
Mais bon, chacun vit selon ses moyens…


J’ai déjà commencé la rédaction du 12e chapitre de Baby or Beast, l’histoire de  Bella et Léon.
Après d’importantes considérations, j’ai décidé de commencer la traduction du premier chapitre.
Après quatre ans, il est temps de commencer!
Devrais-je crée un blog spécialement pour ça?
Cela reste à voir, mais j’y songe fortement.
J’ai également commencé à écrire des critiques littéraires sur mes livres favoris venant de ma collection personnelle ou de la bibliothèque de mon école.
J’ai terminé plusieurs segments, donc celui du livre de Lewis Carroll, Tout Alice, et plus récemment, Au nom de tous les miens de Martin Gray.
J’adore partager mes opinions sur les livres que j’aime et ceux que je découvre.
Une autre passion est née, mais mes autres projets ne seront pas délaissés pour autant.
Je jongle mes projets avec dextérité, sans ressentir de problèmes ou en étant victime du syndrome de la page blanche.
Le pire châtiment pour un écrivain (je ne prétends pas en être un!), c’est bien de souffrir de cette ‘’maladie’’.
Je crois savoir de quoi je parle, après avoir fait une pause de plus d’un an par manque d’inspiration totale.
Je vais simplement dire : plus jamais!
Mais quelqu’un m’a dit il y a très longtemps de ne jamais dire jamais…
Je déteste les gens qui me font la morale!        
J’aurais envie de crier, mais je me tais, car je ne suis pas seule.
Avec des milliers d’êtres humains sur la terre, je ne serais jamais véritablement seule…
C’est une constatation assez déprimante quand on vient à y penser!
Je pense soudainement à une autre chose qu’on m’a dit il n’y a pas si longtemps : tu es unique, mais tu n’es pas la seule à l’être.
Ce qui veut dire : tout le monde est unique à sa façon, mais tout le monde est unique tout de même. Ça veut dire qu’on n’est pas si unique que ça dans le fond…
C’est étourdissant tout ce  charabia!
Assez pour me donner des maux de tête et d’éveiller en moi un désir d’écrire un autre chapitre de niaiseries inutiles et pénibles à lire.
Les gens parlent pour parler, mais les paroles veulent-elles vraiment dire quelque chose?
Le monologue sans substance des gens de mon entourage me frustre au plus haut point.
Ils aiment s’entendre parler, ni plus ni moins.


Je me demande bien quoi faire pendant mes prochaines vacances.
Une bonne session de magasinage serait peut-être à l’horaire (encore!)
Eh oui! Je ne peux m’en empêcher, mais je vais m’imposer un budget strict!
Faire du magasinage dans des boutiques d’articles usagés est très économique, et si je suis capable de me trouver de nouvelles poupées, tant mieux!
Trouver des nouveaux trésors est le moyen idéal pour me rendre heureuse, au point de frôler la folie!
Ce n’est Folie inoffensive, il n’y a rien à craindre!
En regardant des émissions d’attaques animales à la télévision, je me suis aperçu à quel point les gens sont imprudent, voir stupide.
Allez vous mettre devant un ours enragé et écœurez-le pour voir!
Vous allez avoir une vilaine surprise!
Certaines personnes devraient se tenir loin des forêts.
Tous est une question de sécurité !
Mais j’ai la certitude que le monde serait moins pénible à endurer si certains de ces imbéciles s’étaient fait dévorer par ces animaux enragés.
Oh, que je suis méchante!
Gentil ou pas, c’est tout de même légal!
Je suis capable de beaucoup plus d’intensité, mais je vais en garder en réserve. Il est coutume de garder le meilleur pour la fin.
Ou devrais-je dire ‘’la suite’’?
Je n’ai aucune intention immédiate de terminée cette histoire, loin le là.
Tant que j’aurais quelque chose à dire, des opinions à partager et des raisons de chialer (sans devoir me censurer), il y aura des suites.
Je continue toujours mes projets, même quand je n’arrive pas à voir une fin.


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