mardi 27 mars 2012

L'histoire un peu pathétique de ma vie chapitre 8

J’aimerais bien prendre le temps d’écrire une de ces histoires loufoques que je vous ai suggérée, mais je dois vraiment me concerter sur mes projets plus pressants, comme terminer le 12e chapitre de l’histoire de Léon et Bella.
Ce chapitre sera très intéressant à écrire, et pour plus d’une raison.
Cette partie de l’histoire sera une véritable mixture d’émotions refoulées, explosant à la surface, de psychanalyse et de raisonnement à cinq sous.
J’ai même pensé à ajouter un brin d’humour noir à ce récit, mais j’ignore comment introduire ce genre de thème dans une histoire déjà assez compliquée.
L’histoire du vers blanc me revient à l’esprit.
Comment peut-on en venir à ça?
Partir d’un rêve étrange et dégoûtant pour ensuite trouver l’inspiration pour écrire  une nouvelle histoire.
Après avoir regardé un épisode traumatisant de Dr Phil, j’ai pensé à un possible scénario pour l’histoire du vers géant, qui à ce jour, demeure sans nom.
Devrais-je écrire cette histoire de façon dérangeante, et qu’elle soit remplie de viol, de meurtre et d’abus?
Peut-être pas, mais j’y ai pensé tout de même.
Inclure ce genre de chose dans mes histoires n’est pas une de mes forces. Je devrais sans doute me pratiquer, afin d’inclure des scènes noires et sanglantes dans mes récits, si ce n’est que pour la rédaction de futurs chapitres.
J’ai pensé à écrire une scène troublante entre Léon et un chasseur, arrivé dans l’histoire à l’improviste.
Le chasseur, que j’appellerais  ‘’le gros TBNK’’ pour l’instant, se lancera dans un combat sans merci avec notre cher héros.
Mais pourquoi?
Pourquoi le ‘’TBNK’’ veut-il capturer Léon?
Sans doute pour pouvoir le faire empailler par un de ses amis taxidermistes, pour le vendre à un homme de science, passionné par les spécimens rares de ce monde ou encore, pour ouvrir son propre cirque de difformités et de bizarrerie, pour faire de Léon l’attraction la plus lucrative de toutes.
Raison que vous voulez, mais ça ressemblera à ça.
Un chapitre noir que je songerais sans doute à écrire dans un futur rapproché.
J’aimerais bien explorer cette avenue, mais je doute pour mon talent pour le macabre.
Je regarde sans doute trop de films; mes idées sanglantes ressemblent presque toutes aux scénarios des films d’horreur que j’aime un peu trop.
Ma méthode d’écriture de choix, c’est de commencer à zéro; de trouver par moi-même les idées pour mes histoires, inventer mes propres  personnages et de choisir tout le reste : scénario et situations diverses, dangereuses ou ennuyantes, le tout accompagné d’une petite musique de fond, de bon goût et intimement relié à la situation présente de l’histoire.
Je laisse au lecteur la liberté de choisir la chanson thème de mes histoires.
C’est juste un autre aspect de l’écriture.
Quand vient le temps de lire le résultat final de tout ce travail, l’histoire n’a pas de son qui l’accompagne, comme on n’en trouve au cinéma. Il est silencieux, si on ne considère pas les sons qu’on s’imagine en faisant la lecture.
Il y a aussi le bruit du crayon, contrôlé par une main humaine, écrivant les mots voulus sur chaque ligne du cahier, ou encore les touches du clavier, faisant des bruits répétitifs après chaque pression du doigt.
Est-ce assez intense pour vous?
Les idées qui me passent par la tête, sans doute les symptômes d’une psychose prochainement prête à faire surface, me fatiguent au plus haut point.
Ça fait part d’une smarteté surprenante!
Ce mot, purement inventé par ma chère mère, est devenu u mot d’usage fréquent dans mon quotidien.
Cette femme a un véritable talent pour inventer des mots absurdes.
Ça vient tout seul, sans effort apparent.
Elle a toujours été spontanée, mais depuis quelques mois, c’est devenu encore plus surprenant.
Les choses qui peuvent nous venir à l’esprit  sont presque impossibles à imaginer. Les atteindre sans inspiration ou sans spontanéité  est presque infaisable, si ce n’est que par un effort herculéen. 
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Toujours présentes dans mon quotidien, j’aimerais bien avoir le temps, la patience et la facilité littéraire pour les mettre ces stupidités sur papier, de façon cohérente et compréhensible.
Ça sera sans doute un projet intéressant à réaliser, mais je vais remettre ça à plus tard.
La rédaction du 12e chapitre s’est très bien passée. J’étais surprise de ma facilité à savoir quoi écrire, tout en respectant le suivi de l’histoire. Je pensais que cela serait plus difficile à faire, étant donné que j’ai passé plus d’un an en ‘’pause’’ littéraire.
Un an sans écrire de nouveaux chapitres, c’est très long. Je ne pensais pas que je retrouverais le gout de continuer cette histoire, mais comme par magie, l’inspiration m’est revenue!
Plusieurs personnes sur les sites d’écriture amateur  se demandaient pourquoi il y a eu une période aussi longue entre le 11e chapitre et le nouveau que j’ai publié récemment.
Je ne sais toujours pas pourquoi je n’ai pas répondu à ces questions, mais j’ai  tout de même inclus une note à la suite du nouveau chapitre. Une note qui explique (sans donner d’excuses) les raisons de ma pause prolongée (et un peu trop longue selon certains)
Ne sachant pas quoi répondre, et n’ayant aucune envie de me justifier, j’ai laissé aux lecteurs la chance de venir à leurs propres conclusions, en ne mettant que les détails les plus minimes dans ma note. 
Ça va les faire suer au maximum, et je m’en fiche éperdument!
La créativité et l’inspiration ne se pressent pas!
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Nous sommes présentement en plein ménage du printemps. Après avoir aperçu des dégâts d’eau dans la cave, nous nous sommes empressés de vider celle-ci des tonnes de bidules, meubles et pacotilles qui l’encombrait. Une tâche qui semble un peu banale, mais c’est loin d’être le cas.
15 ans d’accumulation, ce n’est pas rien!
Nous avons réussi à remplir deux abris Tempo de toutes sortes de trouvailles venant de cet endroit sombre et humide (depuis l’inondation)
Heureusement que la majorité des articles avaient pu être rescapés.
Les autres.... brisés, déchirés, sales, inutiles, pourris, endommagés, ont trouvé un dernier refuge dans les poubelles.
C’est un peu soulageant, de faire le grand ménage.
Depuis des années, ma mère a eu tendance à acheter trop de trucs, et les empiler dans la cave.
Bien sûr, les sessions de magasinages aux friperies et aux magasins de seconde main n’a certainement pas aidé le problème.
Je suis un peu comme elle; j’adore le magasinage et les magasins bon marché.
J’aime bien me trouver des bouquins pour ma collection, et si je suis chanceuse, des  nouvelles poupées!
J’en ai trouvé deux pendant mes vacances de Mars. Une Bradley à la robe colorée et une autre, vieille et détendue, mais tout de même jolie.
Mes nouvelles trouvailles sont bien exposées dans ma chambre, à la vue de tous.
J’aime montrer mes petits trésors, car je ressens toujours une certaine joie et les regardants.
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Pendant ma semaine de vacances, j’ai eu beaucoup de temps pour écrire, mais je n’ai pas eu la chance de dédier du temps à la rédaction de ce chapitre.
Excuses, me direz-vous, encore des excuses!
Mais je n’en ai pas…
Je devais terminer le chapitre de l’histoire de Bella et Léon, un point c’est tout!
Si je ne me donnais pas une limite de temps, j’aurais encore étiré ça pendant des mois.
Il ne faut pas exagérer, je l’ai assez fait pour le savoir!
Sans perdre plus de temps, j’ai réussi à accomplir cet objectif dans une période de temps raisonnable, ce qui n’était pas le cas auparavant.
J’étais surprise par ma capacité de composer, surtout après une pause aussi longue.
J’aimerais bien demander à un de mes amis du net, dessinateur talentueux, à faire un portrait de Léon.
J’aimerais le voir, l’observer, le contempler…
Peut-être que ça me donnerait des idées sur quoi faire de lui.
Un futur projet, rien de plus…
Si cela se concrétisait, j’aurais certaines demandes à faire à l’artiste qui sera responsable de ce projet.
N.1 - Léon ne doit pas être trop effrayant
Si je veux que Bella développe des sentiments amoureux à son égard, il ne doit pas être trop monstrueux. Je veux qu’il fasse ‘’pitié’’, sans pour autant avoir un air de ‘’chien battu’’ et misérable…

N.2-  Les yeux doivent être expressifs, même tristes.
Léon est un personnage torturé, à l’âme fragile.
Nul besoin d’en dire plus…

N.3- L’image doit refléter sa personnalité et ses complexes personnels.
Encore une fois, aucune explication n’est requise, les raisons sont évidentes…

Les critères que je présente sont raisonnables et très réalistes à mon avis.
Je suis ouverte aux suggestions…

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